Vladimir Poutine rend visite aux victimes des attentats (Cliquez sur la photo)
Le secrétaire du Conseil de sécurité russe, Nikolaï Patrouchev, a évoqué mardi des "progrès" dans l'enquête sur le double attentat suicide qui a fait 39 morts lundi dans le métro de Moscou, tout en estimant qu'une piste géorgienne n'était pas exclue.
"Les forces de l'ordre font leur travail. Un important nombre (de leurs membres, ndlr) s'occupe de l'enquête. Il y a déjà des progrès", a déclaré M. Patrouchev à l'agence Interfax. "Je suis sûr que tous ceux qui sont liés à cet attentat, les commanditaires comme les exécutants seront punis conformément à la loi. Personne n'échappera aux poursuites", a-t-il indiqué.
M. Patrouchev a évoqué une possible piste géorgienne dans l'attentat qui est attribué par les services spéciaux russes (FSB) à deux femmes kamikazes liées à des groupes rebelles du Caucase du Nord, en proie à l'instabilité et ensanglanté depuis les années 1990 par les deux guerres en Tchétchénie. "Nous avions l'information selon laquelle certains membres des services spéciaux géorgiens étaient en contact avec des organisations terroristes du Caucase du Nord russe. Nous devons étudier cette version aussi" à propos des attentats de Moscou, a-t-il dit.
"Il y a la Géorgie et le dirigeant de cet Etat, (Mikheïl) Saakachvili dont le comportement est imprévisible. Une fois, il a déjà déclenché une guerre. Il n'est pas exclu qu'il ne le fasse de nouveau", a ajouté M. Patrouchev. Cette hypothèse a été tout de suite démentie par Tbilissi. "Il n'y a aucun besoin de dire que ces accusations sont absolument sans fondement", a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère géorgien de l'Intérieur, Chota Outiachvili.
"Nous ne pensions pas qu'ils (les Russes, ndlr) puissent se laisser aller aussi loin que de nous accuser d'être liés à cette attaque terroriste horrible", a indiqué M. Outiachvili, en ajoutant que c'était "très alarmant".
La Russie et la Géorgie s'étaient affrontées en août 2008 dans une guerre éclair pour le contrôle de la région géorgienne séparatiste pro-russe d'Ossétie du Sud.
"Les forces de l'ordre font leur travail. Un important nombre (de leurs membres, ndlr) s'occupe de l'enquête. Il y a déjà des progrès", a déclaré M. Patrouchev à l'agence Interfax. "Je suis sûr que tous ceux qui sont liés à cet attentat, les commanditaires comme les exécutants seront punis conformément à la loi. Personne n'échappera aux poursuites", a-t-il indiqué.
M. Patrouchev a évoqué une possible piste géorgienne dans l'attentat qui est attribué par les services spéciaux russes (FSB) à deux femmes kamikazes liées à des groupes rebelles du Caucase du Nord, en proie à l'instabilité et ensanglanté depuis les années 1990 par les deux guerres en Tchétchénie. "Nous avions l'information selon laquelle certains membres des services spéciaux géorgiens étaient en contact avec des organisations terroristes du Caucase du Nord russe. Nous devons étudier cette version aussi" à propos des attentats de Moscou, a-t-il dit.
"Il y a la Géorgie et le dirigeant de cet Etat, (Mikheïl) Saakachvili dont le comportement est imprévisible. Une fois, il a déjà déclenché une guerre. Il n'est pas exclu qu'il ne le fasse de nouveau", a ajouté M. Patrouchev. Cette hypothèse a été tout de suite démentie par Tbilissi. "Il n'y a aucun besoin de dire que ces accusations sont absolument sans fondement", a déclaré à l'AFP le porte-parole du ministère géorgien de l'Intérieur, Chota Outiachvili.
"Nous ne pensions pas qu'ils (les Russes, ndlr) puissent se laisser aller aussi loin que de nous accuser d'être liés à cette attaque terroriste horrible", a indiqué M. Outiachvili, en ajoutant que c'était "très alarmant".
La Russie et la Géorgie s'étaient affrontées en août 2008 dans une guerre éclair pour le contrôle de la région géorgienne séparatiste pro-russe d'Ossétie du Sud.
La chaîne privée géorgienne Imedi a diffusé à mi-mars des images remontant à cette période, en affirmant que des chars russes faisaient route sur Tbilissi et que le président Saakachvili avait été tué. Un bref avertissement avant la diffusion de l'émission indiquait qu'il s'agissait d'une "simulation", mais le reportage lui-même ne contenait aucune mention.
Le Figaro - 30 mars 2010
Commentaires
Pour mémoire la révolution géorgienne a été mise en scène par les amères loques et les sionistes du mossad en étaient le bras armé. Ils ont participé activement à ce chambardement.
Alors que les Russes se vengent et envoie à nouveau une dégelée aux Georgiens il n’y a pas de quoi fouetter un chat car ce ne sont pas nos problèmes pour autant que ces Caucasiens n’envahissent pas l’UE en tant que "réfugié politique".
Double attentat au Dagestan ce matin :
« Deuxième attentat au Dageshtan: un kamikaze inflitré parmi les enquêteurs »
http://fr.rian.ru/onlinenews/20100331/186360234.html
qui manipule qui?? ç,est un jeu trés compliqué aussi dans cette partie du monde!mais je suppose que les services de sécurité russe dans leur recherche ne doivent pas s,encombrer du manuel des drh !!salutations.