A Chambéry le 22 avril - (Cliquez sur la photo pour la voir en entier)
Le président Nicolas Sarkozy a rabroué jeudi à Chambéry un jeune homme qui lui manifestait son hostilité, en lui lançant: "fais pas le malin!", a constaté un photographe de l'AFP.
A son arrivée à Chambéry, le chef de l'Etat, qui venait participer à la célébration du 150e anniversaire du rattachement de la Savoie à la France, s'est livré à un bain de foule.
A son arrivée à Chambéry, le chef de l'Etat, qui venait participer à la célébration du 150e anniversaire du rattachement de la Savoie à la France, s'est livré à un bain de foule.
Là, il a serré la main d'un jeune homme qui ostensiblement l'a ensuite essuyée sur ses vêtements en manifestant du dégoût.
"Fais pas le malin", lui a lancé, par trois fois, le président.
En 2008, lors d'une visite du salon de l'Agriculture, Nicolas Sarkozy avait vivement répliqué à un badaud qui lui avait lancé: "touche-moi pas, tu me salis". "Casse-toi alors pauvre con!", lui avait répondu le président. La scène filmée, relayée ensuite sur le net, avait provoqué un tollé.
Dans son discours, Nicolas Sarkozy a expliqué jeudi que "l'unité de la France a plus à craindre d'une uniformité rigide que d'une souplesse dans la diversité et la reconnaissance de chacune des identités de notre territoire". "On ne bâtit pas un grand pays en niant les identités de toutes ses petites patries qui font la grande patrie française", a ajouté le chef de l'Etat.
Le Parisien - 22/04/2010
Commentaires
«toutes ses petites patries qui font la grande patrie française» : bravo, il pourra bientôt fêter le rattachement de la France à l’Algérie, le nabot devenant la fatma de BouteLeFlic !
Cette affaire est , à mon sens, une mise en scène qui s'inscrit dans la nouvelle tentative de de manipulation , tendant à faire accroire que Sarkozy est de droite .
Villepin aujourd'hui :
L'ex-premier ministre Dominique de Villepin a jugé jeudi que la "surenchère sécuritaire" de Nicolas Sarkozy était "terriblement dangereuse" car elle risquait d'entraîner des "provocations". "On va se trouver dans des situations de provocations face auxquelles on aura du mal à répondre. La République ne doit pas être soumise à des calculs politiciens, à des arrière-pensées", a lancé l'ancien ministre de l'Intérieur devant des journalistes lors d'un déplacement à Dijon.
"Le gouvernement doit avoir pour seule boussole l'intérêt général. Une loi soumise au spectacle n'est jamais une bonne loi", a-t-il ajouté. "Comment peut-on réduire les problèmes de la Seine-Saint-Denis à une question sécuritaire, il y a les questions sociales et économiques", a-t-il notamment expliqué à propos du déplacement de Nicolas Sarkozy mardi à Bobigny.
Quelle honte !!!!
Le pire est que cela marche ; j'entends autour de moi des personnes qui avaient juré de ne plus voter pour Sarkozy ,dire : enfin, cela bouge ; stupéfaite, je leur demandé en quoi ? réponse : suppression des allocations familiales.
La partie n'est pas finie , hélas, car la naiveté des Français , pour rester polie, est insondable.
Ce gars-là,il est zinzin!
Ce "géant" de la mauvaise foi se mêle de nos affaires, nous ne sommes pas, nous n'avons jamais été un patchwork de petites patries, nous ne parlons que le Français depuis François premier ( le bien nommé) traité de Villers-Cotterêts.
Nous devrions parler : arabe, bantou, kabyle, yiddish , congolais, togolais, kurde, hindoustani, quecha, malais etc.
Nous ne parlerons que Français et un peu le Kassetoapovkon.
Hier le crapaud hongrois marchait tel un arabe comme si les œufs qu’il est censé posséder entre ses guibolles avaient grossi à moins qu’il ne pratiquait la gymnastique du périnée comme le lui imposé sa gigolette.
Plongeant dans un bain qui défoule,
Le Président croise quelque brute,
Qui, là, patiente parmi la foule,
Un bouquet de doigts tendu, zut !
Que notre homme d'état saisit quand
L'autre le retire et d'instinct,
Le porte à son pull en disant :
Si j'l'essuie, là, je fais l'mal, hein ?
Putain de sa voix ! crie Nicolas,
Faire une montagne de ces propos,
C'est plus mon genre, mon petit gars
Fais le Malin, ça, peu me chaut !
Ah, le joli malentendu
Lequel, dans notre histoire de France,
A fait d’un grand nombre d'élus,
La seule victoire des circonstances...