Gilles Bernheim à la synagogue de la Victoire à Paris
Le Grand rabbin de France Gilles Bernheim doit se rendre à Vichy dimanche, Journée des déportés, une visite à très haute portée symbolique et la première d'un grand rabbin de France depuis la Seconde Guerre mondiale.
Dans ce chef-lieu de l'Allier, capitale de l'Etat Français du maréchal Pétain, le rabbin Bernheim doit donner une conférence, sur le thème "Juifs et Français, quelle position aujourd'hui?", qu'il présente comme un devoir de mémoire et un appel à la vigilance pour la Journée des déportés le 25 avril.
Cette visite a "une portée symbolique évidente, d'autant qu'il n'y avait pas eu de visite d'un grand rabbin de France à Vichy depuis la guerre", a déclaré à l'AFP Gilles Bernheim.
"Il faut, ajoute-t-il, rappeler que les Juifs de France gardent et garderont toujours en mémoire que si Vichy a abouti à une faillite morale, que si le gouvernement d'alors s'est déshonoré en contribuant à la perte d'un quart de la population juive de ce pays, les trois quarts doivent leur survie à la sympathie sincère des Français non Juifs et à leur solidarité agissante, surtout à partir du moment où ils ont compris que les familles juives tombées aux mains des Allemands étaient vouées à la mort".
Sur les 75.721 Juifs déportés de France vers les camps nazis--dont 11.400 enfants-- entre 2.500 et 3.000 ont survécu. Il y avait en France 330.000 Juifs en 1940, dont 190.000 Français et 140.000 venus de Pologne et d'Europe de l'Est après 1914 ou d'Allemagne après l'arrivée d'Hitler au pouvoir.
"La communauté juive de France, plus qu'aucune autre, sait que sa meilleure protection est son enracinement dans la communauté nationale et son attachement aux valeurs de Liberté, Egalité, Fraternité. Elle épouse ces valeurs avec l'ensemble des Français et les défend avec eux", selon M. Bernheim.
Il parle de "nécessaire et incessant combat pour la mémoire" parce que "ne rien oublier des heures sombres de notre histoire, c'est défendre une idée de l'Homme, de sa dignité, de sa liberté".
"Quand souffle l'esprit de la haine alimenté par la peur, quand des groupuscules se révèlent plus ou moins ouvertement racistes et antisémites, il me semble important de rappeler notre vigilance", souligne-t-il.
A Vichy, le grand rabbin déposera une gerbe devant une stèle à la mémoire des déportés.
Dans ce chef-lieu de l'Allier, capitale de l'Etat Français du maréchal Pétain, le rabbin Bernheim doit donner une conférence, sur le thème "Juifs et Français, quelle position aujourd'hui?", qu'il présente comme un devoir de mémoire et un appel à la vigilance pour la Journée des déportés le 25 avril.
Cette visite a "une portée symbolique évidente, d'autant qu'il n'y avait pas eu de visite d'un grand rabbin de France à Vichy depuis la guerre", a déclaré à l'AFP Gilles Bernheim.
"Il faut, ajoute-t-il, rappeler que les Juifs de France gardent et garderont toujours en mémoire que si Vichy a abouti à une faillite morale, que si le gouvernement d'alors s'est déshonoré en contribuant à la perte d'un quart de la population juive de ce pays, les trois quarts doivent leur survie à la sympathie sincère des Français non Juifs et à leur solidarité agissante, surtout à partir du moment où ils ont compris que les familles juives tombées aux mains des Allemands étaient vouées à la mort".
Sur les 75.721 Juifs déportés de France vers les camps nazis--dont 11.400 enfants-- entre 2.500 et 3.000 ont survécu. Il y avait en France 330.000 Juifs en 1940, dont 190.000 Français et 140.000 venus de Pologne et d'Europe de l'Est après 1914 ou d'Allemagne après l'arrivée d'Hitler au pouvoir.
"La communauté juive de France, plus qu'aucune autre, sait que sa meilleure protection est son enracinement dans la communauté nationale et son attachement aux valeurs de Liberté, Egalité, Fraternité. Elle épouse ces valeurs avec l'ensemble des Français et les défend avec eux", selon M. Bernheim.
Il parle de "nécessaire et incessant combat pour la mémoire" parce que "ne rien oublier des heures sombres de notre histoire, c'est défendre une idée de l'Homme, de sa dignité, de sa liberté".
"Quand souffle l'esprit de la haine alimenté par la peur, quand des groupuscules se révèlent plus ou moins ouvertement racistes et antisémites, il me semble important de rappeler notre vigilance", souligne-t-il.
A Vichy, le grand rabbin déposera une gerbe devant une stèle à la mémoire des déportés.
Le monument a été installé il y a cinq ans à l'initiative de la communauté juive de la ville, devant l'Hôtel du Parc où résidait le Maréchal Le grand rabbin de France Gilles Bernheim doit se rendre à Vichy dimanche, Journée des déportés, une visite à très haute portée symbolique et la première d'un grand rabbin de France depuis la Seconde Guerre mondiale.
Dans ce chef-lieu de l'Allier, capitale de l'Etat Français du maréchal Pétain, le rabbin Bernheim doit donner une conférence, sur le thème "Juifs et Français, quelle position aujourd'hui?", qu'il présente comme un devoir de mémoire et un appel à la vigilance pour la Journée des déportés le 25 avril.
Cette visite a "une portée symbolique évidente, d'autant qu'il n'y avait pas eu de visite d'un grand rabbin de France à Vichy depuis la guerre", a déclaré à l'AFP Gilles Bernheim.
"Il faut, ajoute-t-il, rappeler que les Juifs de France gardent et garderont toujours en mémoire que si Vichy a abouti à une faillite morale, que si le gouvernement d'alors s'est déshonoré en contribuant à la perte d'un quart de la population juive de ce pays, les trois quarts doivent leur survie à la sympathie sincère des Français non Juifs et à leur solidarité agissante, surtout à partir du moment où ils ont compris que les familles juives tombées aux mains des Allemands étaient vouées à la mort".
Sur les 75.721 Juifs déportés de France vers les camps nazis--dont 11.400 enfants-- entre 2.500 et 3.000 ont survécu. Il y avait en France 330.000 Juifs en 1940, dont 190.000 Français et 140.000 venus de Pologne et d'Europe de l'Est après 1914 ou d'Allemagne après l'arrivée d'Hitler au pouvoir.
"La communauté juive de France, plus qu'aucune autre, sait que sa meilleure protection est son enracinement dans la communauté nationale et son attachement aux valeurs de Liberté, Egalité, Fraternité. Elle épouse ces valeurs avec l'ensemble des Français et les défend avec eux", selon M. Bernheim.
Il parle de "nécessaire et incessant combat pour la mémoire" parce que "ne rien oublier des heures sombres de notre histoire, c'est défendre une idée de l'Homme, de sa dignité, de sa liberté".
"Quand souffle l'esprit de la haine alimenté par la peur, quand des groupuscules se révèlent plus ou moins ouvertement racistes et antisémites, il me semble important de rappeler notre vigilance", souligne-t-il.
A Vichy, le grand rabbin déposera une gerbe devant une stèle à la mémoire des déportés. Le monument a été installé il y a cinq ans à l'initiative de la communauté juive de la ville, devant l'Hôtel du Parc où résidait le Maréchal Pétain et à deux pas du Casino où l'Assemblée lui a voté les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940.
Dans ce chef-lieu de l'Allier, capitale de l'Etat Français du maréchal Pétain, le rabbin Bernheim doit donner une conférence, sur le thème "Juifs et Français, quelle position aujourd'hui?", qu'il présente comme un devoir de mémoire et un appel à la vigilance pour la Journée des déportés le 25 avril.
Cette visite a "une portée symbolique évidente, d'autant qu'il n'y avait pas eu de visite d'un grand rabbin de France à Vichy depuis la guerre", a déclaré à l'AFP Gilles Bernheim.
"Il faut, ajoute-t-il, rappeler que les Juifs de France gardent et garderont toujours en mémoire que si Vichy a abouti à une faillite morale, que si le gouvernement d'alors s'est déshonoré en contribuant à la perte d'un quart de la population juive de ce pays, les trois quarts doivent leur survie à la sympathie sincère des Français non Juifs et à leur solidarité agissante, surtout à partir du moment où ils ont compris que les familles juives tombées aux mains des Allemands étaient vouées à la mort".
Sur les 75.721 Juifs déportés de France vers les camps nazis--dont 11.400 enfants-- entre 2.500 et 3.000 ont survécu. Il y avait en France 330.000 Juifs en 1940, dont 190.000 Français et 140.000 venus de Pologne et d'Europe de l'Est après 1914 ou d'Allemagne après l'arrivée d'Hitler au pouvoir.
"La communauté juive de France, plus qu'aucune autre, sait que sa meilleure protection est son enracinement dans la communauté nationale et son attachement aux valeurs de Liberté, Egalité, Fraternité. Elle épouse ces valeurs avec l'ensemble des Français et les défend avec eux", selon M. Bernheim.
Il parle de "nécessaire et incessant combat pour la mémoire" parce que "ne rien oublier des heures sombres de notre histoire, c'est défendre une idée de l'Homme, de sa dignité, de sa liberté".
"Quand souffle l'esprit de la haine alimenté par la peur, quand des groupuscules se révèlent plus ou moins ouvertement racistes et antisémites, il me semble important de rappeler notre vigilance", souligne-t-il.
A Vichy, le grand rabbin déposera une gerbe devant une stèle à la mémoire des déportés. Le monument a été installé il y a cinq ans à l'initiative de la communauté juive de la ville, devant l'Hôtel du Parc où résidait le Maréchal Pétain et à deux pas du Casino où l'Assemblée lui a voté les pleins pouvoirs le 10 juillet 1940.
Le Figaro - 23/04/2010
Commentaires
Nous aussi avons de la mémoire, nous savons que Pétain, ce grand Maréchal de France a sauvé notre Patrie en 40, c'est tout ce qui nous importe. Le reste, nous avons aussi que c'est en France qu'il y eut le plus de juifs protégés.
Notre devoir de mémoire concerne surtout Mamilla en 614 et ,depuis , les guerres mondiales enrichissantes pour les Grandes crapules financières,mais pire encore les huit millions de petits Français assassinés dans le ventre de leurs mères par une loi qui porte un nom détestable.
qu'est-ce qu'ils viennent nous polluer ces sionistes sur nos terres?
Même à Vichy ?
Mais quand vont-ils s'arrêter !!!!!!
@turigol
Vous avez bien résumé la situation; il ne faut pas oublier l'immigration mortifère dont ils sont les plus ardents défenseurs.
Et dans ce dossier de la burqa ,ce sont les juifs qui nous manipulent magistralement une fois de plus y compris le FN pour asseoir encore plus leur domination.
Ils sont très forts pour que nous en soyons réduits à cet état d'esclavage et de sidération en 2010.
Pétain avait tout compris.
Seul un retour vers le Christ sauvera la France.
Pour les juifs chaque jour est un grand jours lorsqu'ils peuvent se lancer dans leurs éternelles lamentations que plus personne n'écoute.
DEUX POIDS, DEUX MESURES !
Comparons les couvertures médiatiques :
- 75.721 Juifs déportés de France vers les camps nazis
- 75.000 français tués par les bombardements alliés
Sur ce site de la Défense Nationale :
« Les bombardements alliés sur la France durant la Seconde Guerre »
http://www.cehd.sga.defense.gouv.fr/spip.php?article224
C'est normal,les esclaves sont tenus de glorifier leurs maîtres.
Cette nation a abandonné le Christ,elle en subit les conséquences.
@BOGOMIR.vous avez parfaitement raison;on nous abrutit avec les malheurs des juifs,mais on oublie les victimes des bombardements anglo-saxons,tués parce qu'ils étaient Français.Je ne crois pas qu'il n'y a eu que 2500 à 3000"miraculés" rescapés des camps allemands.Sur les 75721 déportés,il y avait 24500 français ,dont 11000 enfants qui étaient français par le droit du sol(ils ont suivi leurs parents qui étaient de nationalité étrangère)Les étrangers(adultes et enfants)n'avaient aucune raison de revenir en France où .ils n'avaient aucune attache;ils ont rejoint leur pays d'origine .Quant aux juifs français,ils avaient hâte de rentrer chez eux;donc,au lieu de perdre leur temps en allant se faire inscrire à l'hotel Lutetia,ils ont filé dans la gare la plus proche.
Qu'ils nous laissent au moins boire notre eau de Vichy, tranquilles.
J'ignorais qu'il y avait une "communauté juive" à Vichy ! Combien de divisions ?
Merci à Gaëlle pour son talent à faire parler les photos !
Leurs mensonges sont de même nature que le mensonge sur Katyn.
Merci à BOGOMIR et à Henri Roques de rétablir la vérité.
@Bogomir : Merci à vous d'avoir rappelé le massacre de Français innocents par les bombardements dits "alliés" - les merdias n'en parlent jamais, qu'importent les goyim !
Si les canaris se mettent à aimer les villes d'eaux,il y en a plus de mille sur le territoire.
Si c'est pour soigner leur maladie,il n'y a que la mer Rouge..
Merci, tania! C'est très gentil!
@ BOGOMIR: je vous remercie pour votre commentaire si juste et pour le lien.
Les Français morts sous les bombardements "alliés", on n'en parle jamais!
@ Henri Roques: j'apprécie votre contribution. Il y a là une réflexion, une remarque que l'on se fait jamais sur les retours et départs à l'étranger...
@ Matthieu: on voit qui sont les maîtres chez nous. Je ne suis pas aussi convaincue que vous que nous le méritions. Il y a tant de braves gens en France, de personnes qui prient en silence, dans leur pauvreté. De gens humbles, qui ne font jamais de bruit, qui font leur devoir, des "saints" dont on ne parle jamais. Ils sont aimés du Christ. Le Sermon sur la montagne, les Béatitudes, ces paroles sont toujours d'actualité dans la France profonde.
@ Matthieu: oui, le maréchal Pétain avait tout compris. Vous dites vrai.