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Un collégien poignarde son professeur en Moselle

Le pronostic vital de ce professeur de collège n'est pas engagé. Une réflexion sur un cahier mal tenu serait à l'origine du geste du garçon.

C'est un drame qui a bouleversé le collège Lionel Terray d'Aumetz, en Moselle. Mercredi matin, après une réflexion que lui fait son professeur de Sciences de la Vie et de la Terre sur la tenue de son cahier, un élève de 4ème est invité à venir s'en expliquer à la fin du cours, vers 10 heures. C'est à ce moment que l'adolescent de 13 ans sort un couteau et poignarde son enseignant à l'abdomen. Aussitôt alertés, les secours prodiguent des soins à la victime, âgée d'une soixantaine d'années. Ses «jours ne sont pas en danger», selon le SAMU.

L'agresseur présumé, qui n'avait jamais fait parler de lui auparavant, a pris la fuite juste après l'attaque mais a été interpellé dans un champ à proximité de l'établissement, peu avant 13 heures par une patrouille de gendarmerie. Il a été immédiatement placé en garde à vue.

Dans la matinée, l'adjoint à l'inspecteur d'académie de Moselle et le recteur se sont rendus au collège en compagnie des enquêteurs chargés de l'affaire. Le cabinet du recteur indique que les équipes enseignantes sont «très affectées par l'événement».

Luc Chatel, le ministre de l'Education nationale a quant à lui «fermement condamné» cette agression à l'arme blanche, un «geste inqualifiable». Dans un communiqué, il affirme apporter son soutien à l'enseignant dans ces épreuves ainsi qu'à l'ensemble de la communauté éducative. Il souhaite par ailleurs que «toute la lumière soit faite sur les circonstances de l'événement», rappelant sa «volonté indéfectible de faire reculer la violence en milieu scolaire par la mise en œuvre de l'ensemble des orientations issues des états généraux de la sécurité à l'école» tenus début avril à Paris.

A l'issue de ces réflexions communes, Luc Chatel avait notamment annoncé sa volonté de «redonner du sens aux sanctions» et de renforcer la sécurité au sein des établissements difficiles.

Le Figaro - 28/04/10

Commentaires

  • Voilà encore un brillant boursier, comme les aime la pécresse !
    D’ailleurs, il a parfaitement appliquer les directives de Chatel en faisant tout pour «redonner du sens aux sanctions» grâce à son couteau !

  • C'est par le catéchisme et l'enseignement catholique que nous parviendrons à supprimer de tels drames.

  • @ Matthieu
    C'est surtout par le retour des fauteurs de trouble dans leurs pays !

  • @ Matthieu: ce collégien est très certainement issu de l'immigration turque ou maghébine. Il y a une véritable violence pathologique en eux, génétiquement. Pour un rien, ils sortent leurs couteaux et frappent!
    C'est la fin de l'enseignement, dans une telle insécurité.

    Ce n'est pas un enfant qui pouvait aller au cathéchisme, puisqu'il est dans doute musulman! Et le Coran, si on le lui a enseigné, ne l'empêche pas de passer à l'acte: il ne se peut pas se maîtriser, c'est plus fort que lui, il frappe pour se soulager!

  • à abad: il redonne du "sens" en effet, et du sang! "Ses jours ne sont pas en danger", mais elle doit souffrir!

  • @oui,Gaëlle,j'ai constaté cela chez les Algériens;d'après el watan,ils sont 7 millions de personnes chez eux souffrant de troubles plus ou moins prononcés.Sur une population de 37 millions,c'est 20 pour cent.

  • les Français doivent tendre le cou et se laisser égorger comme des moutons. Malgré la chape de plomb médiatique, nous apprenons ce genre de faits au quotidien. Il est révoltant de voir de quelle façon sont traités ce sujets dans les journaux télévisés ou papier (hygiénique) les noms des "auteurs" sont toujours disimulés ! est-ce que les gens en auront un jour ras le bol d'être pris pour des cons, de la désinformation et du lavage de cerveau médiatique permanents ? personnellement, je boycotte TOUT ce qui est anti-Français et l'éventail est large, mais tant qu'il est encore permis de choisir !

  • @jean: les noms qui pourraientt fâcher sont en effet toujours occultés: on ne les donne pas. Même quand il s'agit de majeurs. En revanche on donne les noms de souche, c'est une constante, je le remarque tous les jours dans les médiats!

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