«Faire payer la crise par les riches.» «Fonds monétaire international et Union européenne nous volent un siècle d'acquis sociaux.» Alors que le pays est paralysé par une grève générale, 30.000 personnes ont défilé ce mercredi dans les rues d'Athènes et 20.000 à Salonique. La mobilisation syndicale est similaire en nombre aux précédents mouvements, d'après la police. Les syndicats, de leur côté, parlent de la plus grande mobilisation depuis le début de la crise.
En marge des manifestation de violents accrochages ont eu lieu entre manifestants et forces de l'ordre à Salonique et à Athènes. La police d'Athènes a été placée en «état d'alerte générale», face à la violence des groupuscules anarcho-autonomes. Plus de 2.000 membres des forces de l'ordre étaient à pied d'oeuvre dans la capitale grecque.
En début d'après-midi, des groupes de jeunes cagoulés lançaient des cocktails Molotov et des policiers ripostaient par des tirs de gaz lacrymogènes. Les fauteurs de trouble s'en sont pris à des magasins. Certains d'entre eux ont mis le feu à la succursale d'une banque dans le centre d'Athènes.Trois personnes sont mortes alors que les pompiers tentaient d'évacuer la vingtaine de personnes présentes dans l'agence bancaire. Le premier ministre grec, Georges Papandreou, a condamné un «acte brutal et meurtrier».
Deux autres bâtiments administratifs au centre de la capitale ont été incendiés après avoir été ciblé avec des cocktails molotov. Les pompiers ont pu ensuite maîtriser les flammes.
Les incidents ont commencé vers 14h. Vers 15h reignait déjà une certaine «accalmie», selon des sources policières.A Salonique, des jeunes manifestants ont jeté des pierres contre des magasins et des agences bancaires du centre de la ville, selon la police. Les forces de l'ordre ont riposté à coup de gaz lacrymogènes et les groupes de jeunes se sont ensuite dispersés.
Condoléances européennes
La Bourse d'Athènes perdait plus de 5% en milieu de journée. L'Union européenne, par la voix de son président, Herman Von Rompuy, a présenté ses condoléances aux proches des victimes des violences. «Nous sommes tous concernés par la situation économique et budgétaire de la Grèce. Mais, en ce moment, nos pensées vont aux victimes humaines a Athènes», a déclaré Herman Van Rompuy à Bruxelles.
Les manifestants protestent contre les mesures d'austérité imposées par les instances internationales en échange d'un plan d'aide de 110 milliards d'euros en faveur d'une Grèce en grande difficulté pour faire face à sa dette. Le plan de rigueur prévoit une hausse de la TVA et des baisses de salaires pour les fonctionnaires.
«Ce n'est que le début d'une grande guerre», témoignait une manifestante, Hélène, citée par l'AFP. «Le gouvernement ne va pas reculer avec une seule journée de grève,» a renchéri Jim Zach, comptable dans la fonction publique.
«Mesures anti-sociales»
Marchant derrière une banderole déclarant la «lutte contre les mesures anti-sociales», la Confédération des salariés du privé (GSEE, 1 million de membres) et son homologue du public, Adedy (370.000 adhérents) ont rassemblé 10.000 manifestants. De son côté, le Pame, syndicat du parti communiste KKE, a réuni 10.000 personnes.
Il s'agit de la troisième grève générale en Grèce depuis février. Tous les transports, des avions aux ferries, en passant par les bus, sont paralysés. Dans la fonction publique, seuls les hôpitaux fonctionnent grâce à des équipes d'astreinte. Les commerces sont en revanche ouverts.
Le Figaro - 05 mai 2010
Commentaires
Les Grecs ont raison de se révolter contre leurs dirigeants socialo-mondialistes. Mais ils ont tort de se laisser mener par les gauchistes et les communistes qui sont encore plus mondialistes que les mondialo-sionistes qui ruinent tous les pays européens ! Qu’ils commencent par se débarrasser de leur dirigeants actuels qui les trahissent !
dans l,attente de faire payer les riches pour la crise, ce qui est vraiment illusoire , ils font griller de pauvres bougres!!pauvre Gréce et pauvre Europe!! salutations.
Les Grecs communistes ou pas ont raison à 100 pour cent.
Derrière la débâcle européenne,salvatrice même si l'on va souffrir,on trouve tous les financiers pourris sionistes,tous ces gens qui ont pillé nos vieux pays chrétiens sans vergogne!
Ca va flamber au Portugal,en Espagne où la Catalogne s'achemine vers l'indépendance,en Italie où la Padanie se verrait bien vivre seule,en Belgique au bord de l'éclatement,excellente nouvelle,idem en Angleterre et le tour de la France viendra inéluctablement.
Les mensonges sionistes volent en éclats!
Les peuples européens en ont marre de ces gens-là pas de chez nous!
Matthieu,
Les gaucho-communistes sont les alliés occultes des sionistes !
Ils sont chargés de détourner la colère des peuples des vrais coupables .
Il faut être la pire des ORDURES pour mettre le feu à des bâtiments et faire brûler vifs des êtres humains .
Peine de mort immédiate pour ces POURRITURES , sionistes ou pas .
Alors , non,les Grecs communistes sont des RACLURES, au service de leurs maîtres sionistes.
@marie,j'ai écrit les Grecs communistes ou pas.
C'est tout le peuple grec qui est en insurrection contre les maîtres sionistes du monde,tous ces banquiers et financiers qui règnent sans partage sur notre Europe,la dépeçant vivante pour la plus grande gloire d'Israël qui,c'est bien connu,est le guide et le coeur de l'humanité.
Dans l'ombre, les crapules financières n'ont aucun scrupule face aux Goyims, elles jouent... au dominos ... Nation après Nation, la ruine s'installe , le plan est ancien, il se réalise et semble bien aller en s'amplifiant.
Jehanne boutait les Godons, nous avons pire comme démons à exorciser.
@ turigol
Les dirigeants successifs grecs portent une lourde responsabilité également;j'ignore s'ils sont sionistes ou non sionistes mais vendus ; ces dirigeants sont corrompus ; savez-vous qu'ils embauchaient des fonctionnaires à tour de bras pour se faire une clientèle électorale; il y aurait sur 10 emplois de fonctionnaires en Grèce, 9 emplois fictifs , et ils partent à la retraite à 53 ans .
Les cocos, bras armé du sionisme, oublient de le préciser.
D'ailleurs, Cohn -Bendit soutient la révolte des émeutiers grecs ;un indice intéressant !
D’accord avec Marie : la gauche et les cocos sont chargés de détourner la colère du peuple grec pour mieux leur faire accepter le mondialisme. Ces émeutes ont tout de même l’intérêt de rendre peu sympathique l’euro et le mondialisme, mais ces violences les empêcheront de se débarrasser de leurs mauvais bergers, papaandréou en tête !
"mais ces violences les empêcheront de se débarrasser de leurs mauvais bergers, papaandréou en tête ! "
Bien d'accord avec vous , Abad; là est leur astuce et même ici , enfin ce n'est que mon avis, certains tombent dans le panneau .
Des individus qui font brûler vifs des innocents , inutile d'aller chercher plus loin; on sait à qui l'on a affaire.
Les trois morts,c'est tragique mais c'est un accident.
La banque,les banquiers autour desquels gravite le pouvoir sioniste dans le monde entier.
La banque qui a mis les peuples à genoux et qui s'apprête à pucer l'ensemble de la population,666,le chiffre de la BETE dans votre corps,temple du Saint-Esprit,voilà les oeuvres du sionisme triomphant et ces jeunes grecs ne se sont pas trompés de cible et c'est pas fini,cela ne fait que commencer!
Chacun fait ce qu'il veut,mais moi,je n'irai jamais cirer les godasses de ses salopards!
"Le plan de l'antéchrist consiste à faire siens tous les hommes en employant la contrainte car qui refusera le chiffre ne pourra plus acheter ni vendre,il sera reduit à l'impuissance absolue dans notre société,condamné à la mort civile et bientôt d'ailleurs à la mort physique"Marc Dem.
Et nous y sommes.
Que chacun choisisse son camp!
@ Matthieu: il est évident que c'est toute la Grèce, le peuple grec, qui se soulève contre le sionisme qui veut le détruire,le ruiner, l'humilier! Contre ces banques qui ne sont plus que des officines de vol et d'usure éhontée!
Je souscris entièrement à votre commentaire.
Depuis quelques mois, sévit en Grèce toute la racaille gaucho-sioniste ; gauchisme = sionisme ; tout le monde semblait pourtant d'accord sur ce blogue .
Non, enflammer un bâtiment n'est pas un accident, c'est un crime.
Quand on lance un cocktail molotov sur un bâtiment, on sait très bien qu'il peut s'enflammer.
Parmi les manifestants, des provocateurs chargés de tromper le peuple grec sur les vraies responsabilités et de répandre l'opprobre sur les manifestants de bonne foi; cette tactique est archi connue ; l'extrême-gauche est le bras armé du mondialisme.
En outre, les Grecs dans cette affaire ne sont pas blancs comme neige ;il faut savoir raison garder.