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Policière municipale tuée: les belles paroles de Sarkozy face à la réalité

Communiqué de presse de Marine Le Pen, vice-Présidente du Front National

La mort d’une policière municipale lors d’une fusillade à Villiers-sur-Marne illustre dramatiquement la montée permanente d’une violence de plus en plus barbare, et l’échec total de Nicolas Sarkozy à la juguler.

Les policiers ont été confrontés à de véritables actes de guerre : présence d’explosifs, de fusils d’assaut et détermination totale à agir quoi qu’il en coûte. Le gouvernement sait que ces opérations se multiplient et que la circulation d’armes s’intensifie en France, et pourtant il ne fait strictement rien.

Au contraire, il réduit sans cesse les moyens de la police et de la gendarmerie (18.000 postes auront été supprimés entre 2007 et 2012), laissant les agents sur le terrain seuls et désarmés face à des bandes organisées et bien équipées.
Les polices municipales ne sont plus à l’abri, contraintes de plus en plus souvent de prendre le relais d’une police nationale réduite à peau de chagrin.

Comme l’indiquait un rapport récent de l’Observatoire national de la délinquance, le nombre de policiers blessés en service ne cesse d’augmenter : +27 % en 10 ans (11 000 en 2008), alors que le nombre de gendarmes blessés a bondi sur la même période de 93 % !

Marine Le Pen, vice-Présidente du Front National, apporte son soutien le plus complet aux forces de l’ordre qui tentent d’assurer la sécurité des Français dans des conditions de plus en plus dégradées.
Elle juge le gouvernement directement responsable de la montée continue des violences qui touchent l’ensemble de nos compatriotes, les policiers et gendarmes en premier lieu. Elle appelle à une lutte sans pitié contre les délinquants et les bandes qui terrorisent nos villes et nos villages, ce qui suppose une rupture totale avec la politique actuellement menée.

Elle rappelle enfin à Nicolas Sarkozy et à Brice Hortefeux que les beaux discours ne permettent pas d’éviter les drames et qu’ils n’ont jamais permis d’assurer la sécurité des Français. Il est temps d’agir, en commençant par cesser de détruire nos forces de police !

NP Info - 20.05/10

Commentaires

  • Les Pitres du gouvernement ne devraient pas être protégés mais traités comme le sont ceux qui essaient de mettre un peu d'ordre (moins de désordre) en France.
    Ils s'en fichent, font des discours lénifiants , mais mériteraient la déchéance immédiate, vrais virus de la peste anti-française.
    Le mot "Trahison" s'applique parfaitement à ces zigotos, il y a un traitement pour çà.

  • Pour rendre hommage (sic) à cette policière, peut-être que le nabot demandera à recevoir à l’Elysée…. son cadavre !
    A cette occasion, j’aimerais demander aux autorités de ne pas mettre les policières dans des situations dangereuses telles que celles-ci : ce n’est pas leur place ; c’est celle de policiers aguerris.

  • Cher abad, il faut mettre en avant une femme aguerrie, telle Carla Buni, qui lutte pied à pied contre le sida!

  • S' agit-il d' une tactique élaborée par le tandem Lesprechun / Hortebeux pour maintenir la terreur sur la population (masse apeurée = masse moutonnière) ou ont-ils réellement peur de ces crapules ?

  • @ marcel: comment savoir? - Pour moi, ils sont dépassés, et ils ont peur de ces gangs. Ils ont tout désorganisé, et maintenant ils sont bien embêtés! Ils ne savent que s'apitoyer sur leurs victimes indirectes, faire des cérémonies funèbres, etc...
    Et proclamer qu'ils vont courir sus aux bandits! Les punir, etc.. D'abord, il faut les attraper et c'est la justice qui les punira selon les lois en vigueur. Ce n'est pas eux!

    - Arlette Fouquet: une jeune femme blanche, très courageuse. C'est elle qui s'est fait tuer...

  • Pourtant Piccolissimo et son acolyte peuvent règler le compte
    de ces bandits en utilisant certaine unité de parachutistes au képi si caractéristique basée dans le sud ou à Calvi ou même de simples paras , façon de parler, car ce ne sont pas des rigolos non plus .
    Si votre hypothèse s' avère exacte , cela situerait le niveau de débilité de Hortebeux et du nain.

  • Le petit nom de "Piccolissimo" me fait penser au personnage de Rabelais, "Picrochole" (littéralement, "bile amère") qui déclenche une guerre contre son voisin, Grandgousier (cf les superbes illustrations de Gustave Doré).Rabelais l'affuble de nombreux conseillers; je nomme,pour le plaisir des mots, deux d'entre eux:"Merdaille", "Menuail" !!! Ce serait de jolis noms pour certains, aujourd'hui !
    Ah! le plaisir de relire Gargantua !
    Alors, LEURS "apéros géants" ! pffffffffff ! C'est de la gnognotte !
    Quant à imaginer Picrochole face à quelques képis de Calvi, ça pourrait faire un bon début de film historique comme ON dit à Cannes ! Après tout, l'Artiste a tous les droits !

    (pardon, chère Gaëlle, por la digression).

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