«Je n’ai pas de mots pour décrire ce qui s’est produit. Ces jeunes font la loi, ils nous passent devant, nous traitent de sales Blancs et tabassent ma famille! Que voulez-vous que je dise de plus? » Hier après-midi, le père de la famille passée à tabac dimanche au Parc Astérix à Plailly (Oise) par des jeunes de l’Essonne était encore sous le choc.
Il ne comprend pas cette violence gratuite, pour une place dans la file d’attente d’un manège. Un déchaînement pour la simple raison qu’un des fils n’aurait pas voulu céder le passage à quelques membres d’une bande en furie.
Le tabassage a duré vingt-deux secondes. C’est ce qu’ont pu visionner les gendarmes qui enquêtent sur le calvaire vécu par cette famille du Pas-de-Calais venue se détendre, dimanche au parc gaulois. Un temps interminable pour les victimes : les deux garçons du couple âgés de 18 et 20 ans, frappés par trois jeunes déchaînés d’une bande de l’Essonne, sur le parking du parc d’attractions.
Le troisième agresseur recherché
Deux de ces agresseurs, de 19 et 20 ans, dont l’un est originaire des Ulis (Essonne), ont été interpellés. Le troisième individu est toujours recherché par les gendarmes de Chantilly. « Les autres participants à cette rixe sont également recherchés et devront répondre de leurs actes » a expliqué Chantal Berger, la procureur de Senlis.
« Ils ont donné des coups de pied, des coups de poing aux deux jeunes qui se trouvaient à terre, explique une source proche de l’enquête. Les coups pleuvaient sans relâche. Les victimes n’ont eu comme seule possibilité que de se rouler en boule en attendant la fin des coups. Véronique, la mère, a tenté de s’interposer, mais elle a été jetée à terre. » Un des agresseurs n’a pas hésité à monter sur le toit de la voiture familiale pour porter des coups encore plus violents au niveau de la tête des victimes. Le déchaînement de violence a été si important qu’un des agresseurs est passé à travers le pare-brise de la voiture.
Si, d’après les caméras de surveillance, seuls trois individus ont porté des coups, la bande était composée d’une vingtaine de personnes. « Aucun des autres jeunes ne s’est opposé aux coups, déclare une source proche de l’enquête. Au contraire, ils formaient un cordon infranchissable autour des victimes pour que les trois agresseurs puissent agir en toute impunité. Il y avait également des jeunes filles qui criaient pour les exciter encore plus! »
Les victimes, habitants de Drouvin-le-Marais (Pas-de-Calais), étaient venues en famille. Le couple de parents, les deux fils de 18 et 20 ans et leurs deux filles de 10 et 12 ans accompagnés d’amis de leurs enfants.
Leur calvaire s’est terminé grâce à l’intervention de l’équipe de sécurité du Parc Astérix et des gendarmes d’Orry-la-Ville et de Chantilly venus en renfort. Ils ont été hospitalisés à Senlis pour des ecchymoses, mais ont pu regagner leur domicile.
Le tabassage a duré vingt-deux secondes. C’est ce qu’ont pu visionner les gendarmes qui enquêtent sur le calvaire vécu par cette famille du Pas-de-Calais venue se détendre, dimanche au parc gaulois. Un temps interminable pour les victimes : les deux garçons du couple âgés de 18 et 20 ans, frappés par trois jeunes déchaînés d’une bande de l’Essonne, sur le parking du parc d’attractions.
Le troisième agresseur recherché
Deux de ces agresseurs, de 19 et 20 ans, dont l’un est originaire des Ulis (Essonne), ont été interpellés. Le troisième individu est toujours recherché par les gendarmes de Chantilly. « Les autres participants à cette rixe sont également recherchés et devront répondre de leurs actes » a expliqué Chantal Berger, la procureur de Senlis.
« Ils ont donné des coups de pied, des coups de poing aux deux jeunes qui se trouvaient à terre, explique une source proche de l’enquête. Les coups pleuvaient sans relâche. Les victimes n’ont eu comme seule possibilité que de se rouler en boule en attendant la fin des coups. Véronique, la mère, a tenté de s’interposer, mais elle a été jetée à terre. » Un des agresseurs n’a pas hésité à monter sur le toit de la voiture familiale pour porter des coups encore plus violents au niveau de la tête des victimes. Le déchaînement de violence a été si important qu’un des agresseurs est passé à travers le pare-brise de la voiture.
Si, d’après les caméras de surveillance, seuls trois individus ont porté des coups, la bande était composée d’une vingtaine de personnes. « Aucun des autres jeunes ne s’est opposé aux coups, déclare une source proche de l’enquête. Au contraire, ils formaient un cordon infranchissable autour des victimes pour que les trois agresseurs puissent agir en toute impunité. Il y avait également des jeunes filles qui criaient pour les exciter encore plus! »
Les victimes, habitants de Drouvin-le-Marais (Pas-de-Calais), étaient venues en famille. Le couple de parents, les deux fils de 18 et 20 ans et leurs deux filles de 10 et 12 ans accompagnés d’amis de leurs enfants.
Leur calvaire s’est terminé grâce à l’intervention de l’équipe de sécurité du Parc Astérix et des gendarmes d’Orry-la-Ville et de Chantilly venus en renfort. Ils ont été hospitalisés à Senlis pour des ecchymoses, mais ont pu regagner leur domicile.
Le Parisien - 26/05/10
Commentaires
Monsieur, face à de la saloperie d'apparence humaine, un seul traitement, ayez sur vous de quoi vous défendre, vous et votre famille.
Il est légitime et nécessaire de compenser les carences (voulues) de ceux qui ont la prétention de diriger ce Pays ( vers l'abîme)
Souhaitons que la merde qui sautait du haut de la voiture et est passée à travers le pare-brise, se soit fait mal, vraiment mal, très très mal.. et pour longtemps.