Johnny Hallyday à son arrivée à Roissy le 23 mai 2010
La dépendance à l'alcool serait à l'origine du placement en coma artificiel de Johnny Hallyday lors de son hospitalisation au Cedars-Sinai Medical Center de Los Angeles, en décembre dernier, révèle aujourd'hui L'Express, qui a eu accès au dossier de la clinique californienne.
Le document, rédigé en anglais, apporte des éclaircissements aux zones d'ombres qui planaient jusqu'ici sur les circonstances exactes de cette hospitalisation. Selon l'hebdomadaire, le bilan de santé effectué par les médecins américains a révélé une "dizaine de pathologies dont certaines sont liées à un long passé de tabagisme et à une consommation excessive d'alcool". A Los Angeles, Johnny Hallyday aurait lui-même indiqué la quantité d'alcool qu'il boit quotidiennement - une quantité jugé "incroyable" par les médecins de la clinique.
Le placement en coma artificiel aurait donc été pratiqué pour soulager l'artiste, qui présentait des "signes évidents de sevrage alcoolique". Rien, dans le dossier, précise l'Express, ne laisse penser que les jours du chanteur étaient alors en danger. Il s'agissait de "le soulager et de le protéger", indique le journal.
Autre point d'éclaircissement : la responsabilité supposée du docteur Delajoux, montré du doigt au moment des faits. "A aucun moment, le document ne fait explicitement mention de fautes médicales attribuées au Dr Delajoux. Il reviendra donc aux experts médicaux français de dire si, à la lumière des explications de leurs collègues californiens, il est possible de déterminer d'éventuelles erreurs", écrit l'hebdomadaire.
Le document, rédigé en anglais, apporte des éclaircissements aux zones d'ombres qui planaient jusqu'ici sur les circonstances exactes de cette hospitalisation. Selon l'hebdomadaire, le bilan de santé effectué par les médecins américains a révélé une "dizaine de pathologies dont certaines sont liées à un long passé de tabagisme et à une consommation excessive d'alcool". A Los Angeles, Johnny Hallyday aurait lui-même indiqué la quantité d'alcool qu'il boit quotidiennement - une quantité jugé "incroyable" par les médecins de la clinique.
Le placement en coma artificiel aurait donc été pratiqué pour soulager l'artiste, qui présentait des "signes évidents de sevrage alcoolique". Rien, dans le dossier, précise l'Express, ne laisse penser que les jours du chanteur étaient alors en danger. Il s'agissait de "le soulager et de le protéger", indique le journal.
Autre point d'éclaircissement : la responsabilité supposée du docteur Delajoux, montré du doigt au moment des faits. "A aucun moment, le document ne fait explicitement mention de fautes médicales attribuées au Dr Delajoux. Il reviendra donc aux experts médicaux français de dire si, à la lumière des explications de leurs collègues californiens, il est possible de déterminer d'éventuelles erreurs", écrit l'hebdomadaire.
Le Figaro - 26/05/10
Commentaires
Maintenant c’est au tour du mari de la bougresse : je voix chère Gaëlle que vous êtes pour la paix des ménages en préservant un juste équilibre entre les impétrants ! Mais lui, qui n’est pas bougre, planque son fric en Suisse : il a bien raison, sinon le nabot lui prendrait tout ! Et puis cela le rapproche de l’autre pédophile : ce voisinage peut toujours lui apporter quelques distractions !
C'est un pote de Johnny Walker ??, il n'est pas le seul, mais il est plus connu que les autres.
Le seul organe qui ne risque aucune affection chez "jauni" est son cerveau : con il était dans les années 60 , con il est resté en 2010 .
JH alias Smets juif.
Johnny a compris depuis longtemps que l'alcool ne méne nulle part,la preuve il ne sait pas où il va...en France,en Belgique,aux US,en Suisse....
Pour sûr qu'il y en a des alcooliques chez les pipoles et ça ne me gêne pas du tout. Ce qui me gêne, c'est qu'en pleine crise, que dis-je, en pleine déliquescence du pays, en pleine faillite économique, morale, familiale, en pleine déferlante immigra-$ioniste, au milieu des drames et des horreurs en tous genres, ON nous inflige cette affaire (tous les JT du jour l'ont mise au programme) de gros sous.
Et dire que quand ça s'est produit, On nous l'annonçait mort presque tous les jours et que les funérailles avaient même été préparées à l'Elysée !
Et comme l'écrit Abad, il planque son fric en Suisse ! Comme tant d'autres !
Et les gens vont payer s'il remonte sur scène ?
Pôvre Johnny,coke,femmes à répétition,évasion fiscale,finalement c'est le sirop qui aura sa peau,c'est trop injuste