Pour avoir fait une remarque à un homme dans un tabac de Nice (Alpes-Maritimes), un policier a été roué de coups jeudi soir par quatre hommes, dont trois Tchétchènes.
La victime, un des trois policiers d'une équipe de la Bac, se trouvait dans un tabac du centre-ville pour acheter des cigarettes, quand un homme a doublé tous les clients qui faisaient la queue.
Lorsque le policier lui a fait une observation, l'individu est revenu vers lui et l'a pris à partie. Un autre homme, surgissant par derrière, a saisi le policier au collet. Les deux l'ont traîné entre deux voitures, où deux autres individus se sont joints à eux pour le frapper à coups de pieds et de poings, alors qu'il se trouvait à terre.
Les deux autres policiers de la Bac sont intervenus. L'un des quatre agresseurs a pu s'enfuir, les trois autres ont été interpellés. Ils doivent être présentés samedi au parquet.
Le policier a eu plusieurs jours d'arrêt de travail. Dans la bagarre, deux autres fonctionnaires ont été plus légèrement blessés, l'un au pied, l'autre au poignet.
Le Parisien - 28/08/10
Commentaires
Voilà le remerciement pour leur avoir accordé l'asile politique ! Il faudrait les renvoyer à Ramzan Kadyrov il saura quoi en faire.
Tant qu'on ne tirera pas dans le tas, tout va aller en empirant, cela se conçoit aisément, les crapules des toutes espèces, voyant que les lois sont au-dessous d'elles, n'auront aucune raison de ne pas en profiter au maximum, et crescendo molto.
Les grands complices du guignolvernement n'en ont rien à faire, la FM se réjouit , tout marche suivant le Plan (et les plans du Plan).
Ordo ab Chaos...Solve et Coagula...de plus en plus.
Réagissons fermement.
Monsieur Galinier est un modèle, un héros.
J’attends avec curiosité les suites de cette agression. Si la victime était un français racinien ordinaire, la cause serait entendue : on ne recherche pas les agresseurs, et pour faire bonne mesure on fout la victime au violon pour lui apprendre à faire des remarques à certains. Mais là, il va falloir qu’ils trouvent des arguments pour les relâcher, car c’est toute la BAC qui risque de réagir et surtout de perdre toute crédibilité !