Préservatif géant placé par Act-Up sur l'obélisque de la Concorde le 1er décembre 1993
Poursuivi pour "dégradation de bien public", l'élu avait été condamné en 2008 par le tribunal de Pontoise à payer une amende de 1.000 euros, ainsi que quelque 8.000 euros de dommages et intérêts à la ville de Taverny.
"C'est une parodie de justice", a déclaré M. Alexandre Simonnot à l'AFP après le rendu de l'arrêt, "je m'estime innocent, j'ai mis fin à une obscénité publique".
"On ne fait pas de cadeau aux hommes de ma famille politique", a-t-il estimé, en précisant qu'il comptait se pourvoir en cassation.
Lors de son procès à Pontoise, il avait reconnu avoir percé le 2 décembre 2006 un préservatif gonflable de onze mètres de haut disposé le jour même sur un obélisque érigé à un rond-point de la ville, à l'occasion de la journée mondiale contre le Sida.
M. Simonnot, qui exerce la profession de visiteur médical, a été élu conseiller municipal en mars 2008 à la tête d'une liste FN et n'avait aucun mandat au moment des faits.
AFP. 06/09/10
Commentaires
ceux qui ont placés cette chose n,aurait pas eu les c. . .! de l e faire dans d,autres pays et à certains endroits !! en France tout est permis!! salutations.