Abondamment commentée dans la presse de ces derniers jours, la condamnation d’Alexandre Simonnot – secrétaire départemental FN, conseiller municipal de Taverny (Val d’Oise) – à 10.000 € d’amende réjouit les bien pensants du microcosme politique. Avec pareille sanction financière, c’est une arme de dissuasion massive qui a été utilisée par la justice, dont le message peut ainsi s’interpréter : « Ne vous en prenez pas aux symboles du vivre-ensemble ni à ceux des pseudo-grandes causes nationales imposées par les lobbies, sinon… ».
Qu’un élu fasse recouvrir un obélisque de sa ville par un préservatif géant – pour la modique somme de 9.000 € pris dans les poches de ses administrés – paraît normal pour les faiseurs d’opinion.
Qu’un autre élu crève d’un coup de clef cette œuvre obscène, potentiellement choquante pour les enfants de la commune concernée, et le cirque médiatico-judiciaire se met en branle !
Alexandre Simonnot n’ayant violenté personne, le seul moyen de faire un exemple consistait à infliger une amende suffisante pour « casser les reins » d’un simple citoyen comme lui : les juges n’ont pas hésité à user de cette facilité…
Pendant ce temps, des racailles incendient des bâtiments publics, dégradent des biens communaux ou brûlent le drapeau français en toute impunité. Lorsque ces individus sont interpellés – ce qui est rare –, ils sont le plus souvent condamnés à des peines symboliques (travaux d’intérêt général, versement d’1 euro et autres admonestations solennelles) ; leur jeunesse constitue sans doute une excuse…
Jeune, Alexandre l’est également, et sera bientôt père : en le contraignant à s’endetter, la justice prend-elle la mesure des répercussions matérielles qui toucheront toute une famille ?
Afin que les adversaires du Front National comprennent que rien ne saurait nous contraindre au silence, nous devons démontrer notre soutien à « Alex », unique victime de cette affaire :
- Si chaque fédération accepte de lui envoyer 50 €, son action politique n’en sera que renforcée.
- Le reste pourra être compensé par les dons individuels des militants : à raison de 10, 20 € ou davantage en fonction de la situation de chacun, nous pouvons espérer permettre à notre ami de poursuivre la lutte politique à nos côtés.
- Il est bien évidemment pas question de lui payer son amende, ce que la Loi interdit fermement.
- Chèques à adresser à : Alexandre Simonnot – 1, rue Jean XXIII – 95150 Taverny.
D'avance, un grand merci aux patriotes.
NPI - 08/09/10
Commentaires
Cette nouvelle affaire est une autre illustration du fonctionnement de notre justice : elle protège les délinquants et les pornocrates, et envoie en prison les innocentes victimes qui osent se défendre. Simonnot a la chance de ne pas avoir été assassiné, alors que c’est ce qui risque d’arriver au pauvre René Galinier.
Dire que j'aurais pu faire le même geste avec mes clés!
Devant cette ignoble baudruche anti-sida, c'est presque un réflexe que de la dégonfler!