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Une criminelle de guerre du nom de Djamila Bouhired se fait soigner à Paris et loge au George-V

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Elle a placé une bombe au « Milk Bar » rue d’Isly à Alger un jeudi en 1956, attentat qui a coûté la vie à 56 enfants .Le Milk Bar était la sortie des enfants le jeudi après midi pour aller déguster une glace !!! Djamila Bouhired se soigne à Paris et loge au George-V. Quel écoeurement !!!! L’information  qui fait scandale vient  de plusieurs sites et blogs (1)

 Djamila Bouhired, l’ancienne fellagha, poseuse de bombes pour tuer les Français pendant la guerre d’Algérie, se soigne à Paris dans un palace.

 Cette  femme  terroriste  de premier ordre se trouve actuellement dans la capitale française pour y suivre des soins. Elle loge à hôtel George-V, et bénéficie d’une voiture pour les besoins de ses déplacements. Djamila Bouhired a bénéficié d’une prise en charge pour se faire soigner à Paris…..de la part de l’État algérien à l’égard de celle qui est qualifiée d' ‘’d’icône de la Révolution algérienne’’.

Djamila Bouhired est une icône, en effet. L’icône de la haine fellouze qui faisait dire au sinistre Ez Zitouna : « Mes frères, ne tuez pas seulement mais mutilez vos adversaires sur la voie publique, crevez-leur les yeux, coupez-leur les bras et pendez-les ! ».

Née dans une famille de classe moyenne, elle est scolarisée à l’école française. Elle rejoint le FLN durant ses années étudiantes. Elle travaillera plus tard comme officier de liaison, membre du « réseau bombes » et assistante personnelle de Yacef Saadi chef de la Zone Autonome d’Alger pendant la bataille d’Alger, elle avait déposé, le 30 septembre 1956, une bombe qui n’explosa pas dans le hall du Maurétania. Elle recruta Djamila Bouazza, qui elle, déposa le 26 janvier 1957  une bombe très meurtrière au Coq Hardi. Elle fut notamment l’agent de liaison de l’égorgeur Yacef Saadi, l’« icône de la guerre d’Algérie ».

En avril 1957, elle est blessée dans une fusillade et capturée par les parachutistes. Elle est soupçonnée d’être une poseuse de bombe, inculpée pour ses actes, elle est condamnée à mort. Son exécution est stoppée par une campagne médiatique menée par Jacques Vergès et Georges Arnaud.  Elle est finalement graciée et libérée en 1962. Après sa libération, elle travaille avec Jacques Vergès sur Révolution africaine, un magazine centré sur les révolutions nationalistes africaines. Elle  a épousé Jacques Vergès (avant d’en divorcer plus tard) en 1965. Ils ont eu deux enfants, Meriem et Liess. Meriem, mariée à un certain Fouad Habboub, a eu en 1995, une petite-fille, Fatima Nur Arcanys Vergès Habboub.

 Aujourd’hui, malade, c’est vers la France dont elle a assassiné des enfants qu'elle se dirige. Presque naturellement. Aucune honte. Aucune vergogne. Et cette ancienne felouze a malgré tout des goûts de luxe puisqu’elle ne loge pas n’importe où. Et pendant que son peuple crève de faim, elle a choisi un palace parisien et non des moindres : le George-V !

 Il est vrai que depuis une cinquantaine d’années que l’Algérie a obtenu son indépendance les progrès de la médecine dans ce pays n’ont guère évolué. Mais la faute en incombe sûrement là aussi à l’ancienne occupation Française. (Les praticiens de la santé publique  sont en grève , en ce moment , en Algérie).

Il faut  condamner avec la plus grande fermeté ce droit au soin accordé à une criminelle de guerre et la publicité qui est faite de son séjour en grande pompe. Recevoir cette criminelle  est une insulte à ceux qui ont payé le cher tribu de leur vie et dont certains ont encore en eux les séquelles psychologiques et physiques. Aucune honte vraiment ! Qu’elle se fasse  soigner dans son pays du tiers monde. Il y a vraiment des gens qui devraient être interdits de séjour en France.  Il faut faire de sorte  que les criminels de guerre  ne puissent entrer en toute liberté sur le territoire français . 

Le Réveil de l’Orient

Une libre voix défiant la censure islamique

 

(1) Source : blog  La Brée-les-Bains : L’ancienne felouze Djamila Bouhired se soigne à Paris et loge au George-V

 

25/09/10

Commentaires

  • @Gaelle

    Ce n'est pas ces jours -ci qu'elle est venue en France, mais en Janvier je crois.
    C'est une façon de reconnaitre que de chasser les Français a été une immense Connerie, que les compétences n'étaient pas algériennes mais Françaises.
    La barbarie est de chez eux, il suffit de lire des paroles d'une bestialité inconcevable.
    Héroïne de pacotille, mais grande criminelle.

  • @ turigol: je sais que c'est au début janvier, et d'ailleurs j'avais mis une note à cette époque.
    Mais depuis cette date, il y a des visiteurs nouveaux (sur une moyenne de 800 par jour) qui peuvent ne pas être au courant.
    Un piqûre de rappel ne fait jamais de mal.
    Il y a d'ailleurs le lien du site qui donne toutes informations.

  • Chère Gaelle le site que vous indiquez comme référence est celui de Michel Garotté (site www.drzz.info) un pseudo chrétien mais réel sioniste ayant eu dans le passé un point de chute en Suisse. Il est souvent cité par les sayanim sur les blogs des quotidiens suisses.
    A prendre qu’avec de très longues pincettes !

    P.S.
    Les sayanim – informateurs en hébreu – sont des Juifs de la diaspora qui, par « patriotisme », acceptent de collaborer ponctuellement avec le Mossad, ou autres institutions sionistes, leur apportant l’aide nécessaire dans le domaine de leur compétence. Leur nombre en France se situerait, autour de trois mille. Ils se recrutent principalement au sein du Bnaï Brit (franc-maçonnerie juive internationale) et autres organisations juives nationales.

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