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Georges Frêche est mort

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Georges Frêche levant le poing devant la statue de Lénine le 18 août 2010 - (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

Le président du Conseil régional de Languedoc-Roussillon, Georges Frêche, est décédé dimanche après-midi à Montpellier, a annoncé le journal Midi Libre sur son site internet. Son décès a été provoqué par un arrêt cardiaque, selon le sénateur Robert Navarro.

Ancien député-maire de Montpellier, il présidait la communauté d'agglomération de Montpellier depuis 1977 et le Conseil régional de Languedoc-Roussillon depuis 2004. 

L'ancien maire de Montpellier avait été réélu en mars à la tête à la tête du conseil régional de Languedoc-Roussillon, après avoir largement dominé le second tour du scrutin des régionales, réunissant 54,19% des suffrages, devant l'UMP (26,43%) et le FN (15,67%).

La campagne avait été marquée notamment par son bras de fer avec le PS, qui l'avait déjà exclu de ses rangs en 2007 pour ses dérapages verbaux et lui avait opposé une liste conduite par Hélène Mandroux, maire de Montpellier.

Né en 1938 dans le Tarn, élu pour la première fois maire de Montpellier en 1977, Georges Frêche avait fait la une de l'actualité récemment en inaugurant en grande pompe cinq statues des "grands hommes", dont celle de Lénine.

Nouvel Obs - 24/10/10

Commentaires

  • Pourtant, les éboueurs n'ont pas encore commencé à ramasser leurs ordures... Une réquisition, sans doute...

  • Bon débarras !

  • Marseille,Montpellier gréve des éboueurs,les ordures dans la rue ......

  • Cette monstrueuse statue de Lénine, fou assassin de tant de millions de pauvres gens, ne lui aura guère porté chance... Frêche était un homme plein de haine, sous une apparente bonhommie, destinée à tromper la populace.

  • Les dérapages qu'il affectionnait provenaient d'un esprit brillant qui devait considérer qu'il n'avait pas eu la reconnaissance (nationale) qu'il méritait et qui ne détestait pas faire la une des médias. Une certaine rancoeur et l'orgueil peuvent expliquer la personnalité d'un homme politique qui n'a laissé personne indifférent, surtout pas ses administrés et qui laisse un bilan incontesté.

  • Il aimait bien les canaris et les Frères, non ?

    D'accord avec vous, Gaëlle.
    Il ne se privait pas de mépriser, voire d'insulter ceux qu'il administrait (en les achetant, ce qui lui permettait ensuite de leur dire des horreurs.)

  • ç,était son heure ! on est que de passage dans cette vallée de larmes!!
    maintenant ses petits camarades de jeu vont pouvoir se déchirer pour prendre la place!!
    il y aura encore des gogos pour voter et les applaudir!!
    salutations.

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