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Romancier américain, écrivain reconnu pour ses engagements et récompensé par le prix Nobel de la paix en 1986, Elie Wiesel est l'un des grands témoins du XXe siècle. Docteur honoris causa dans plus de cent universités et survivant de la Shoah, il a bataillé au travers de la Fondation Elie Wiesel pour l'humanité afin que les horreurs de la Seconde Guerre mondiale ne tombent jamais dans l'oubli.
Dans l'intimité du salon d'un hôtel parisien, Franz-Olivier Giesbert, directeur de la publication du Point, l'a rencontré.
Le Point - 19/10/10
Commentaires
Dur ! 9 minutes ! Mais, scoop !
E.W.,accuse Dieu de crime contre l'humanité !
Enfin, l'humanité... réduite à la vision d'E.W. !
Le reste, c'est sans doute la sous-humanité !
chère tania: 9 minutes à écouter ce vieux serpent à sornettes, c'est long en effet. Mais il faut savoir ce qu'ils ont dans leurs crochets à venin.
""L'holocauste" est une construction non pas arbitraire mais dotée d'une cohésion interne. Ses dogmes principaux soutiennent des intérêts politiques et sociaux significatifs. En fait, "l'holocauste" s'est avéré une arme idéologique indispensable. Son déploiement a permis à l'une des puissances militaires les plus formidables du monde, dont les manquements aux droits de l'homme sont considérables, de se poser en état-"victime" et le groupe ethnique le plus florissant des Etats-Unis a, lui aussi, acquis le statut de victime. Des bénéfices considérables découlent de ce statut injustifié de victime, en particulier, une immunité face à la critique, même la plus justifiée. Ceux qui jouissent de cette immunité, ajouterai-je, n'ont pas échappé à la corruption morale qui va de pair avec elle. De ce point de vue, le rôle d'Élie Wiesel, interprète officiel de l'holocauste, n'est pas un hasard. Il est évident qu'il n'est pas parvenu à cette position par son action humanitaire ou ses talents littéraires 2. Il joue le premier rôle plutôt parce qu'il articule sans la moindre fausse note les dogmes de l'holocauste, défendant par là même les intérêts qui le sous-tendent."
Normann G. Finkelstein : L'industrie de l'holocauste (réflexions sur l'exploitation de la souffrance des Juifs) aux éditions La fabrique (à lire absolument !)
Il est d' ailleurs surnommé "Trucs et Wiesel" par les détracteurs de ce vieux grigou shoatique .
C’est tellement puant qu’à la fin j’ai ressenti le besoin de nettoyer l’écran !
Cher abad, le bon réflexe!