Le vice-président du FN était hier à Craon (Mayenne) où il tenait une conférence de presse. Le 9 novembre, des élèves du collège Volney de cette ville avaient été tabassés par des « jeunes » pensionnaires qui avaient été installés dans un établissement de réinsertion scolaire (ERS). De très nombreux parents « de souche » avaient ensuite refusé de renvoyer leurs enfants au collège pendant plusieurs jours. Un accord a finalement été trouvé avec le recteur prévoyant notamment de limiter le nombre de pensionnaires de l’ERS…
Bruno a expliqué à cette occasion que « cette expérience d’établissement scolaire de réinsertion est un échec total», relevant que « la responsabilité des parents des élèves de Seine-Saint-Denis est mise en cause ». Pointant un taux d’encadrement élevé pour les neuf élèves restants il a appelé à mettre « fin au titre de séjour des perturbateurs ou de leurs familles ».
Adepte d’un langage de vérité, Bruno Gollnisch a qualifié ce qui s’est passé à Craon de « ratonnade anti-blancs ».
« Il faut que ces jeunes et leurs parents soient réinsérés dans leur pays d’origine. La plupart du temps ce sont des double nationaux ». Il a noté que les « jeunes » en cause sont des « produits de l’immigration africaine à 95% ». « Retournez en Guinée, retournez en Côte d’Ivoire, retournez en Algérie, et tout rentrera dans l’ordre. Ce sont des pays où les autorités ne se laissent pas déborder facilement ! »
Les commentaires très louangeurs laissés notamment sur le site fdesouche, qui faisait état hier de cette conférence de presse du vice-président du FN, prouvent une nouvelle fois que le Front National n’a rien à gagner à affadir son discours sur le sujet.
gollnisch.com
19/11/10
Commentaires
Merci à Bruno Gollnisch de dire la vérité sur ces violences et de dénoncer le vrai scandale : l’immigration galopante que nous connaissons depuis quelques années. Ces immigrés rejettent notre culture, nos coutumes, et ne veulent surtout pas de nos connaissances. Celles du marabout leur suffisant amplement. Et surtout ils sont animés d’une haine féroce contre la France et les Français. Alors quand nous en débarrasserons-nous ?
C'est la bonne, la seule question, cher abad!