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Orléans - La mère de Vivien tabassé devant son collège: "On a cru qu'il allait y passer"

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(Cliquez sur la photo)

Mardi vers 17 heures à la sortie du collège André-Chêne de Fleury-les-Aubrais (Loiret), Vivien, jeune collégien de 15 ans, élève de 3e, tombait dans un guet-apens. Il était roué de coups par trois autres collégiens. Plus tôt, lors d’une commission de vie scolaire, Vivien, délégué de classe, aurait pris part à une décision défavorable à l’encontre d’un élève.

 Ce jour-là, la direction du collège avait décidé l’exclusion immédiate « à titre conservatoire » d’un collégien violent. Durant la récréation de 11 heures, une bagarre avait éclaté entre les deux collégiens et le conseiller principal d’éducation avait alerté la mère de Vivien en lui conseillant de venir chercher son fils à la sortie.

Deux jours après son agression, Vivien se remet petit à petit. A l’hôpital de la Source, Christine, sa maman, employée à la vie scolaire dans une école de Fleury-les-Aubrais, se relaie à son chevet avec son ex-mari. Elle témoigne : « Je suis arrivée alors que la bagarre se terminait, Vivien était allongé sur le trottoir. Ils étaient trois à le frapper à coups de poing et à coups de pied. Comment en arriver à un tel acharnement?
 Lorsque nous sommes rentrés à la maison, j’ai appelé le Samu et attendu près de trois quarts d’heure avant qu’il n’arrive. Vivien souffrait, il avait chaud et il était intransportable. Il était tout pâle, il ne pouvait s’asseoir et devait rester allongé. Quand nous sommes arrivés à l’hôpital, on n’a pas du tout été rassurés. Le chirurgien a été très clair, il nous a dit que sa vie était en danger. Vivien avait été victime d’une hémorragie interne et il avait déjà perdu beaucoup de sang. On lui a transfusé quatre poches de sang. On a cru qu’il allait y passer. Il a fallu que l’on attende pour l’opérer, car le bloc opératoire n’était pas libre. Il a finalement été pris en charge vers 22 heures et a subi une ablation de la rate. Je me suis dit : Ce n’est pas possible, il ne va pas s’en sortir. Je pensais vraiment le ramener dans un cercueil. »

Aujourd’hui toujours très affaibli, Vivien ne fait aucun commentaire sur ses agresseurs. « Il m’a seulement dit : Je ne pensais pas que pour une chose aussi banale je frôlerai la mort », ajoute sa maman. Hier, à la sortie du collège André-Chêne, élèves et enseignants étaient encore sous le choc. « Ce sont des faits de violences intolérables.
 Les trois jeunes en garde à vue ont reconnu leur participation. Ils devraient être présentés au parquet des mineurs vendredi matin. Nous attendons de savoir quelle sera l’infirmité permanente qui sera retenue par les experts avant d’ouvrir une information judiciaire. En fonction, nous ouvrirons éventuellement une procédure criminelle », indiquait hier après-midi Franck Rastoul, procureur d’Orléans.

Le Parisien - 26/11/10

Commentaires

  • «Comment en arriver à un tel acharnement? » : c’est fort simple, car cette violence est le résultat direct du bourrage de crâne que les merdiats et les responsables politiques nous assènent depuis des décennies et qui consiste à inciter les immigrés à haïr les Français de souche, la France, les chrétiens et plus généralement les Européens. Alors, pourquoi se gêneraient-ils ? Ils ont pratiquement tué ce pauvre gosse qui n’était pour rien dans cette décision puisqu’il y participait en tant que responsable de classe ! Mais cela paraît trop difficile à comprendre de la part de ses agresseurs. Ils savent que l’impunité leur est garantie : ce sont les victimes que l’on met en prison et non les agresseurs. Et il faut souligner que tous les merdiats laissent entendre que la victime était plus ou moins responsable de cette décision : il est difficile d’être plus ignoble que cela !
    Maintenant, je voudrais demander à la mère pour qui elle a voté lors des dernières élections.

  • Comme toujours le nom et l'origine de ces ordures restent un "Secret Défense".

    OAS OAS OAS VITE !

  • @ turigol: pauvre maman, pauvres gens à qui on tue presque leur fils Vivien, car il va garder des séquelles, et qu'attend donc le procureur Rastoul pour ouvrir une procédure criminelle?
    Quele honte, cette fausse justice à sens inique!

    Les noms, maintenant, on s'en fiche, du moment qu'on ne les donne pas, on les devine.

  • éléves et enseignants sous le choc , bien sur!! mais quand il s,agit de prendre des mesures radicales, souvent ces mémes enseignants ou méme certains parents d,éléves vont crier au faschisme , le mot magique qui tue!!
    face à la violence de ces petites merdes , une seule chose leur pratiquer l,ultra-violence, ensuite ils se tiendront à carreaux!!
    car les réunions ,exclusions et autres pschy , réinsertions , ne sont que de la guimauve !!
    bon rétablissement à ce pauvre gamin!
    salutations.

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