Une sexagénaire a été retrouvée morte dimanche à Avignon, la boîte crânienne vraisemblablement enfoncée à coups de pierres, a-t-on appris auprès du parquet d'Avignon.
Le corps de cette femme née en 1944 a été retrouvé non loin de son domicile, "dans un endroit qui jouxte le parking des Italiens", situé à proximité de l'université et du centre-ville, selon la même source.
"Deux blocs de pierre ensanglantés" ont été découverts près du cadavre, a précisé le parquet.
L'enquête a été confiée à l'antenne avignonnaise du service régional de police judiciaire (SRPJ) de Montpellier.
AFP. 28/11/10
Commentaires
La barbarie au quotidien en France, enfin disons dans cette nouvelle France, où les sous-chiens sont remplacés peu à peu par des immigrés.
Cher abad, je suis horrifiée par cette barbarie! Pauvre femme! C'est une martyre!
Le gouvernement est responsable de sa mort atroce.
Ce ne sont plus des cités, des "favelas" qu'il faut reconquérir, mais la France toute entière, ville par ville!
Chaque fois qu'il y a un assassinat barbare dans une ville française, le maire de la ville devrait faire mettre le drapeau en berne. Cela marquerait les esprits!
Cher turigol, ne m'en voulez pas, mais je ne peux pas passer votre commentaire (que j'approuve). Il est trop dangereux. Parce que trop "technique".
Amitiés
Gaelle : ccn la réserve du commmentaire de Turigol, on n est jamais assez prudent en effet, compte tenu de la diffusion de votre blog, accessible y compris aux "malfaisants". Ce fait est deja assez atroce.
Vous en etes d ailleurs si emue que vous y perdez pour une fois votre forme impérative du verbe du 3eme groupe "vouloir" : "ne m en veuillez pas". En toute amitié bien sur.
@Gaelle
Non seulement je ne vous en veux pas, j'aurais fait de même, mais vous comprendrez mon état d'esprit d'homme amoureux de sa Patrie et honteux de la voir ainsi profanée.
@ turigol, non seulement je vous comprends, mais je partage exactement les mêmes sentiments que vous!
Mais vous connaissez les interdits...
@Décée: merci, mais selon mon Bescherelle de 1972 - je viens de vérifier - les deux se disent et s'écrivent au présent de l'impératif.
Je recopie exactement:
veux (veuille)
voulons!
voulez (veuillez)
Je ne pense pas avoir commis de faute, malgré mon émotion et ma colère.
(Bescherelle - L'art de conjuguer)
Amicalement
on ne peux que déplorer toute cette barbarie !! et avoir une pensée pour cette pauvre femme!
seule la peine capitale serait radicale pour les crimes de sang!!
mais autant crier dans le désert!
salutations.