19/04/2011 – 12h56
ROME (NOVOPress) : Le ministre italien des Affaires étrangères, Franco Frattini, a déclaré ce matin que la question des clandestins tunisiens était désormais réglée entre l’Italie et la France. « Au niveau bilatéral, a expliqué le ministre dans un entretien à la télévision italienne, la question a été résolue. Les Français appliquent désormais les règles européennes, ils acceptent les Tunisiens qui arrivent d’Italie. »
De fait, selon les chiffres communiqués par la police italienne, la France n’a procédé hier qu’à dix refoulements vers l’Italie à la frontière de Vintimille, alors que, dans l’autre sens, l’Italie a refoulé vingt clandestins. Il s’agissait exclusivement d’immigrés qui ne détenaient aucun document d’identité d’aucune espèce. C’était déjà la tendance des jours précédents, avant le blocage temporaire des trains effectué par la France, dimanche, en raison de la manifestation de l’extrême gauche « anti-raciste ».
Des journalistes italiens qui se sont rendus hier à la gare de Nice ont constaté que la police française n’effectuait aucun contrôle. « Les agents, les manches retroussées à cause de la chaleur qui commence déjà à se faire sentir, observent trois Tunisiens à peine arrivés de Vintimille, puis passent leur chemin. Aujourd’hui ça va vraiment mieux, commentent les immigrés en suivant les policiers du regard. » Au lendemain du blocage des trains, qui a fait monter la tension diplomatique entre l’Italie et la France, les immigrés détenteurs du permis de séjour provisoire et d’un passeport ont recommencé à passer la frontière par le train, qui fonctionne normalement
« J’attends que ma famille vienne me chercher, explique Ali, 28 ans, puis j’espère trouver tout de suite un emploi. » Avec une dizaine d’autres Tunisiens, il avait pris le train parti de Vintimille à 11h 47. A bord, aucun contrôle, et aucun non plus à Menton. « Après tout ce qui est arrivé hier, je pensais que ce serait plus difficile », dit Ali avec un soupire de satisfaction. À la gare de Nice, d'autres Tunisiens expliquent qu’ils veulent « trouver un travail et surtout avoir une vie meilleure ». Beaucoup ont Paris pour objectif. D’autres attendent leur famille ou des amis qui vont les prendre en voiture.
Hier soir, à la gare de Vintimille, il y avait une trentaine d’immigrés, tous avec leur permis de séjour temporaire en poche. « Nous attendons pour partir, par petits groupes pour ne pas nous faire remarquer. » Assan, lui, selon les journalistes attendris, « a les yeux pleins de larmes ». Dimanche soir, il a tenté de passer en France avec le premier train à partir après le blocus, mais il n’y est pas parvenu. Arrivé à Garavan, il a été arrêté et invité à retourner en Italie. « Mais je vais réessayer. » Les journalistes sont de plus en plus attendris.
Commentaires
FAUX. ARCHI-FAUX .
Les Français n'acceptent pas cette invasion, la preuve, quand ils réclament un référendum, les merdiats aux ordres, se taisent et se terrent dans le silence, la gamelle passe avant tout.
Etrange de voir des "victimes" mendier le gîte et le couvert chez des anciens méchants colonisateurs.
Les prédateurs ( ils ne sont que çà) n'ont aucune honte, mais nous ne les acceptons pas, malgré le soutien criminel des traitres, auto-proclamés "les Français acceptent".
Non possumus.
On se doutait bien que ça finirait très vite ainsi. Merci Sarko.
On aime bien le Tunisien qui va trouver tout de suite du travail. Pendant ce temps les jeunes Français de souche restent des années au chômage ! Encore merci Sarko.
Cher abad, je plains la belle Côte d'Azur, admirée du monde entier, je plains les villes encore un peu plus envahies de musulmans (il va falloir construire des mosquées), et Marseille bien sûr.
Cela risque de finir très mal.
En France, la communauté tunisienne compte déjà presque 600 000 ressortissants. (598 504)
Mais en Italie, ils ne sont que 152 721. ( Source: Office des Tunisiens à l'étranger).
C'est l'Italie qui doit se réjouir en ce moment de l'Espace Schengen, des règlements de l'UE, qui lui permettent de nous envoyer leurs Tunisiens indésirables! D'autant plus qu'ils semblent tous vouloir venir en France! Où ils croient trouver du travail - mais pour les allocs et les assoces, ils sont sûrs d'en trouver chez nous! Ils sont bien renseignés sur la jobardise des dirigeants français!
les journalistes attendris, quelle connerie!!
du travail rapidement, normal vu qu,il y a des emplois à la pelle!!
ces clandos le savent que nous vivons dans l,europe du chomage et de la précarité pour beaucoup de citoyens!
mais ils comptent sur toutes les aides et aussi tous les trafics!!!
les Français paieront comme d,habitude , mais jusqu, à quand!!
salutations.
à parvus: du compassionnel à vomir, vu que notre pays est en train de crever!
Je ne suis pas émue du tout. Il y a des mamans vraies françaises qui souffrent bien davantage, sans aides de l'etat, et qui ont la dignité élémentaire de ne pas pleurer. Et celes-là, elles donnent des petits Français et des petites Françaises à la France. Avec beaucoup de courage et d'amour. Les enfants ne servent pas de passeport dans notre culture.