Selon la presse italienne, un bateau chargé de quelque 600 clandestins a fait naufrage samedi au large des côtes libyennes, près de Tripoli, quelques minutes après son départ. «La Repubblica» et le «Corriere della Sera» rapportent que des dizaines de personnes, dont des femmes et des enfants, ont péri dans la catastrophe.
Le site de «Malta Today» précise que des navires marchands ont récupéré au moins 12 corps. Selon le site d'information maltais, d'autres naufragés auraient réussi à rejoindre la terre ferme après avoir nagé pendant deux heures.
Selon ces médias, le naufrage a été confirmé par Laura Boldrini, porte-parole du Haut Commissariat pour les réfugiés des Nations Unies. «Le gouvernement libyen n'a aucun problème pour faire courir à la population de tels risques, sur des navires dangereux, juste pour faire pression sur les pays de destination. Ces gens sont tout simplement envoyés à la mort», dénonce la porte-parole au site «Malta Today».
Un autre naufrage dimanche matin
Selon l'agence Ansa citant des des sources officielles italiennes, un autre naufrage s'est produit ce dimanche matin. L'embarcation, qui transportait 500 migrants, a heurté des rochers près du port de l'île italienne de Lampedusa. De nombreux passagers, dont des femmes et des enfants là encore, se sont alors jetés à la mer. Mais l'opération de secours lancée par les garde-côtes a permis de repêcher des dizaines de passagers. Selon le porte-parole des gardes-côtes italiens, Vittorio Alessandro, tous les passagers sont sains et saufs, «il n'y a pas de victime».
Proche des côtes africaines, l'île italienne de Lampedusa constitue un point d’entrée privilégié pour les migrants qui veulent gagner l’Europe. Commencé au début des années 1990, le phénomène n'a cessé de s'amplifier, notamment ces derniers mois, après les révoltes qui ont touché des pays arabes. Les migrants venant de Libye sont pour la plupart des travailleurs venant d'Afrique sub-saharienne et d'Asie du Sud-Est. Une minorité est constituée de Tunisiens.
Bateaux de pêche rouillés et surchargés
Dimanche, un autre navire de migrants avec 800 personnes à bord est également arrivé à Lampedusa. La veille, des centaines de réfugiés fuyant la Libye et voyageant à bord de deux bateaux avaient déjà débarqué sur l'île. L'un transportait 655 personnes, dont 82 femmes et 21 enfants, l'autre, un bateau de pêche rouillé, était surchargé de 187 personnes, dont 19 femmes et un enfant.
Selon ces médias, le naufrage a été confirmé par Laura Boldrini, porte-parole du Haut Commissariat pour les réfugiés des Nations Unies. «Le gouvernement libyen n'a aucun problème pour faire courir à la population de tels risques, sur des navires dangereux, juste pour faire pression sur les pays de destination. Ces gens sont tout simplement envoyés à la mort», dénonce la porte-parole au site «Malta Today».
Un autre naufrage dimanche matin
Selon l'agence Ansa citant des des sources officielles italiennes, un autre naufrage s'est produit ce dimanche matin. L'embarcation, qui transportait 500 migrants, a heurté des rochers près du port de l'île italienne de Lampedusa. De nombreux passagers, dont des femmes et des enfants là encore, se sont alors jetés à la mer. Mais l'opération de secours lancée par les garde-côtes a permis de repêcher des dizaines de passagers. Selon le porte-parole des gardes-côtes italiens, Vittorio Alessandro, tous les passagers sont sains et saufs, «il n'y a pas de victime».
Proche des côtes africaines, l'île italienne de Lampedusa constitue un point d’entrée privilégié pour les migrants qui veulent gagner l’Europe. Commencé au début des années 1990, le phénomène n'a cessé de s'amplifier, notamment ces derniers mois, après les révoltes qui ont touché des pays arabes. Les migrants venant de Libye sont pour la plupart des travailleurs venant d'Afrique sub-saharienne et d'Asie du Sud-Est. Une minorité est constituée de Tunisiens.
Bateaux de pêche rouillés et surchargés
Dimanche, un autre navire de migrants avec 800 personnes à bord est également arrivé à Lampedusa. La veille, des centaines de réfugiés fuyant la Libye et voyageant à bord de deux bateaux avaient déjà débarqué sur l'île. L'un transportait 655 personnes, dont 82 femmes et 21 enfants, l'autre, un bateau de pêche rouillé, était surchargé de 187 personnes, dont 19 femmes et un enfant.
08/05/11
Commentaires
Comme quoi les immigrés sont tout autant victimes que les Européens de cette politique forcenée d’immigration que veulent nous imposer les mondialistes.
abad : c 'est en effet l'énorme hypocrisie de nos dirigeants qui est la cause de tout ce gâchis et de tous ces morts. Honteux.
C'est la traite des Noirs qui recommence. Au lieu d'aller vers l'Amérique, ils arrivent en Europe. Mais il n'y a plus plus de champs de coton ni de canne à sucre...
Bien sûr, eux aussi sont des victimes du mondialisme. Ils sont littéralement vendus et achetés par des gens qui cachent leur visage. Si on savait!
Je ne crois pas qu'ils soient heureux loin de leurs familles, de leur village, de leur tribu.
Personne ne va enquêter sur place pour savoir qui est aux deux bouts de la chaîne de la honte! Trafic d'êtres humains!
C'est cela, ni plus ni moins.
La guerre avec la Libye sert curieusement les nouveaux marchands de chair humaine.
Le désordre, les guerres, le chaos ont ceci de bon qu'ils permettent tous les trafics!
A qui profite le crime?
C'est surtout la "traite" des Blancs qui s'aggrave.
Ces immigrés savent très bien ce qu'ils font , car ils payent des sommes faramineuse aux passeurs , comme quoi ils ne sont pas si pauvres que cela.
Venir en Europe pour vivre du travail des autres , passer quelques semaines en France pour toucher les allocs et le reste du temps vivre dans leurs pays comme des nababs .
Aucune pitié , sauf pour les enfants , mais les enfants sont d'abord victimes de leurs parents cossards.
@ Cat: ce sont des villages entiers qui débarquent d'Afrique Noire dans ces barcasses!
Le drame des peuples occidentaux, c'est la compassion, qui est comme une seconde nature chez eux. L'apitoiement.
Je le reconnais. Je ne vous donne pas tort.
C'est noous qui deviendront des esclaves... nous travaillons déjà pour eux!
Correction: deviendronS
Bismarck disait : " Bottez l'arrière-train des Français en leur délivrant un discours humanitaire et ils en redemanderont".