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Le calvaire de Laëtitia: elle a subi de nombreuses violences avant sa mort

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La jeune fille, tuée en janvier près de Pornic (Loire-Atlantique), n'a en revanche été victime d'aucune «violence sexuelle» selon les résultats des autopsies et des expertises dévoilés mardi.

Les circonstances de la mort de Laëtitia Perrais, la jeune femme tuée en janvier près de Pornic, en Loire-Atlantique, se précisent. La jeune fille de 18 ans a été victime «d'une part, de coups portés au visage, d'autre part, de très nombreuses blessures par arme blanche sur tout le corps, ainsi que d'une strangulation très vraisemblablement à l'origine directe du décès», a révélé le procureur de la République de Nantes, Xavier Ronsin. Les expertises ont également démontré qu'elle avait bien «chuté de son scooter qui avait été percuté par un véhicule, mais que les blessures subies à cette occasion ont été sans conséquences mortelles».

Les analyses ont aussi «mis en évidence l'hypothèse que la découpe des membres de la victime a été opérée» avec une scie à métaux, a poursuivi Xavier Ronsin. Quelques jours après la disparition de Laëtitia, les enquêteurs avaient retrouvé plusieurs outils calcinés dans le jardin de la maison où a été interpellé le principal suspect, Tony Meilhon, à Arthon-en-Retz (Loire-Atlantique).

«Une faible présence d'alcool»

Par ailleurs, le procureur a indiqué qu'une faible présence d'alcool, «entre 0,16 et 0,22 gramme pour 1000», ainsi qu'une «présence de produits stupéfiants consommés dans les heures qui ont précédé le décès», ont été retrouvées dans le sang de Laëtitia. Mais «l'absence de tels produits dans les cheveux de la victime» démontre, selon l'expert toxicologue, que la jeune fille n'était pas «consommatrice habituelle de stupéfiants».

Les résultats de ces analyses ont été communiqués mardi aux parties civiles, qui disposent désormais d'un «délai jusqu'au 20 juin 2011 pour solliciter d'éventuelles expertises ou compléments d'expertise». Les éventuelles demandes de contre-expertises «détermineront à quelle date le permis d'inhumer pourra être délivré (...) ce qui permettra ultérieurement l'organisation des obsèques», précise le procureur.

Laëtitia avait été vue pour la dernière fois le 18 janvier 2011 au soir. Elle était alors en compagnie de Tony Meilhon. Interpellé deux jours plus tard et incarcéré depuis, ce multirécidiviste - déjà condamné pour des faits de violences, de vols, de braquages, mais aussi pour viol en 2001 - a toujours affirmé qu'il avait tué accidentellement la jeune fille, sans vouloir indiquer où il avait dissimulé le corps. Ce dernier a été retrouvé démembré en deux endroits de Loire-Atlantique. La tête et les quatre membres de la jeune fille ont tout d'abord été repêchés par des gendarmes dans un étang le 1er février. Le 9 avril, son tronc était découvert par une promeneuse sur la commune de Port-Saint-Père, entre Nantes et Pornic en Loire-Atlantique.

Source Le Figaro - 31/05/11

Commentaires

  • une seule peine , pour cette ordure!! n,en déplaise aux pseudos-humanistes de tous bords!!
    salutations.

  • Une fois de plus, la mort de cette jeune fille est due à la politique d'immigration du gouvernement, puisque son meurtrier était un métis, même si les médias refusent de préciser ses origines.

  • @ Aristide: il peut être d'origine antillaise... donc non immigré.
    Les médias ne disent rien à ce sujet, tabou.

  • @ parvus: ce non-humain peut remercier Badinter, fils du diable...

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