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Mon dieu, c'est horrible. Il y avait aussi l'autre jour un genre de carnaval antillais à Paris sur les Champs Elysées. Je ne vous raconte pas à quel point l'avenue était NOIRE de monde. On se serait cru à Bamako ou à Port-au-Prince. Désolant.
@ SainteColère: la communauté comorienne compte à Marseille entre 70 000 et 100 000 personnes - en fait la municipalité ne donne jamais le nombre exact.
Marseille est surnommée "la première ville des Comores"!
Normal, pour la première ville des Comores.
Gaelle, mais vous connaissez aussi la blague:l,algérien qui débarque à Marseille et qui poste une carte postale à sa famille en disant demain je serai en France!!
donc, entre les comoriens et les autres communautées, ou sont les vrais Marseillais?
comme les dinosaures peut-étre!!!!
salutations.
Il y en a encore pas mal, de vrais Marseillais, regardez les votes à Marseille pour le FN! Très bon score!
Et le nombre d'adhésions au FN de personnes jeunes prouvent que les vrais Marseillais et leurs descendantsen ont assez!
Et bien voici du personnel à bas prix pour les restaurants et hôtels de Marseille.
Finalement le français n'est pas si raciste que çà et puis surtout ya bon les allocs ;o)
C'est Boutin qui va être contente car ils vont croître et se multiplier !
@ Philippe Maréchal: la plupart des Comoriens de Marseille n'ont jamais vu les Comores!
Pour les salaires, ils sont exactement payés au même tarif que les autres employés. Si vous croyez qu'ils sont exploités! Ils connaissent parfaitement leurs droits.
Les Comoriens ne sont pas des immigrés clandestins, que les patrons du BTP emploient sans les déclarer, et recrutent chez des sous-traitants qui fournissent des "équipes" pour les chantiers.
Si un ouvrier clandestin se blesse, il n'est pas emmené à l'hôpital, car ce serait dévoiler tout le trafic esclavagiste. Ces réseaux de trafiquants encouragent l'immigration, qui leur rapporte beaucoup. Un des aspects du problème qui n'est presque jamais évoqué.
L'Inspection du travail ferme souvent les yeux... car le patronat du BTP y trouve son compte...
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Mon dieu, c'est horrible. Il y avait aussi l'autre jour un genre de carnaval antillais à Paris sur les Champs Elysées. Je ne vous raconte pas à quel point l'avenue était NOIRE de monde. On se serait cru à Bamako ou à Port-au-Prince. Désolant.
@ SainteColère: la communauté comorienne compte à Marseille entre 70 000 et 100 000 personnes - en fait la municipalité ne donne jamais le nombre exact.
Marseille est surnommée "la première ville des Comores"!
Normal, pour la première ville des Comores.
Gaelle, mais vous connaissez aussi la blague:l,algérien qui débarque à Marseille et qui poste une carte postale à sa famille en disant demain je serai en France!!
donc, entre les comoriens et les autres communautées, ou sont les vrais Marseillais?
comme les dinosaures peut-étre!!!!
salutations.
Il y en a encore pas mal, de vrais Marseillais, regardez les votes à Marseille pour le FN! Très bon score!
Et le nombre d'adhésions au FN de personnes jeunes prouvent que les vrais Marseillais et leurs descendantsen ont assez!
Et bien voici du personnel à bas prix pour les restaurants et hôtels de Marseille.
Finalement le français n'est pas si raciste que çà et puis surtout ya bon les allocs ;o)
C'est Boutin qui va être contente car ils vont croître et se multiplier !
@ Philippe Maréchal: la plupart des Comoriens de Marseille n'ont jamais vu les Comores!
Pour les salaires, ils sont exactement payés au même tarif que les autres employés. Si vous croyez qu'ils sont exploités! Ils connaissent parfaitement leurs droits.
Les Comoriens ne sont pas des immigrés clandestins, que les patrons du BTP emploient sans les déclarer, et recrutent chez des sous-traitants qui fournissent des "équipes" pour les chantiers.
Si un ouvrier clandestin se blesse, il n'est pas emmené à l'hôpital, car ce serait dévoiler tout le trafic esclavagiste. Ces réseaux de trafiquants encouragent l'immigration, qui leur rapporte beaucoup. Un des aspects du problème qui n'est presque jamais évoqué.
L'Inspection du travail ferme souvent les yeux... car le patronat du BTP y trouve son compte...