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21/07/2011 – 11h30
MUNICH (NOVOpress) — Ubu roi de Bavière ? Le service régional en charge des demandes d’asile submerge un paisible village sous un afflux de postulants. Sur place, tout le monde est furieux et les tensions sont palpables.
Évincées par la médiatisation de l’île de Lampedusa, d’autres régions d’Europe, que l’on pensait jusqu’à présent épargnées par la question des flux de “réfugiés”, connaissent un destin curieux.
Connaissez-vous Schöllnstein ? Paysage de carte postale, ce petit village typique de Bavière niché dans les collines, surplombé des restes d’un château médiéval et dont les chalets de bois sont ornés de volets multicolores, s’est vu du jour au lendemain gratifié d’une centaine de réfugiés en provenance d’Afghanistan, de Somalie ou d’Irak. Au grand dam des habitants (71 âmes), qui n’ont rien demandé, mais semble-t-il également au désespoir desdits réfugiés : car à Schöllnstein, il n’y a rien. Ou du moins pas grand chose, mis à part quelques fermes, une église, une caserne de pompiers et une onéreuse ligne de bus qui relie 2 fois par jour le petit village à la ville la plus proche.
Choc des civilisations
Si différents témoignages font état d’une cohabitation de plus en plus difficile entre les nouveaux arrivants, qualifiés “d’agressifs” et “oisifs” et la population locale, il ne semble pas pour autant exister la moindre solution à ce problème à l’échelon régional. « C’était une urgence. Nous devions accueillir beaucoup de monde très rapidement », explique simplement Michael Bragulla, porte-parole du gouvernement de Basse-Bavière, au sujet des réfugiés dont l’installation date maintenant d’une année.
Schöllnstein n’est pas un cas isolé : 15 “zones rurales” abritent environ un millier de réfugiés dans le district de Basse-Bavière, la plupart du temps parachutés sans véritable concertation avec les élus locaux et la population, avec les conséquences que l’on devine. Si le porte-parole du gouvernement affirme que le maire était au courant, ce dernier affirme avoir appris la nouvelle par les journaux…
La situation difficile que traversent les habitants de Schöllnstein est, dans un contexte plus général, l’illustration parfaite de l’abîme qui sépare les grands principes abstraits et universels que sont les “terres d’asile”, de leur application concrète, pour le malheur des populations locales comme des expatriés.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
Commentaires
Une des abominables pitreries des "Droadl'omm", subissez et fermez vos gueules...sinon !
La vraie question est : qui les fait venir ? Et il suffirait de les envoyer chez ceux qui les ont fait venir !
Et l’abruti qui dit : « C’était une urgence. Nous devions accueillir beaucoup de monde très rapidement » : mais qui lui a dit qu’il devait les accueillir ? C’est le bon Dieu ? Ils nous prennent vraiment pour des idiots !
C'est le gouvernement allemand qui les répartit dans ces paisibles villages! Il s'agit de mettre les gens au pied du mur du N.O.M. !
A Gaëlle : le maire n’avait qu’à les renvoyer au gouvernement, chez Merkel, par exemple !
et bientot ils exigeront la construction d,une mosquée!!
la Baviére changera de visage comme le reste de l,Europe , ceci est voulu par les mondialistes et accepté par leurs complices politiques.
de beaux jours s,annoncent pour les Europées survivants!!
salutations.
@ parvus: les survivants européens errreront dans les Décombres...
@ abad: ON les leur impose! La Merkel ne va pas faire construire des camps de regoupement comme à Lampedusa et en Scile, avec des barbelés! Vous voyez le scandale!
absolument Gaelle, j,imagine trés bien le parti des verts avec le bendit en téte descendre dans les rues , hurlant que le nazisme revient dans les fourgons de l,extréme droite!!
salutations.