Bactérie de la lèpre
03/09/11
ROME (NOVOpress) – 79 bébés contaminés : c’est le dernier bilan de la tuberculose au service de néonatologie du prestigieux CHU Agostino Gemelli de Rome (l’hôpital du Pape), après qu’une infirmière s’est révélée atteinte de la maladie, le 18 août dernier. Des tests systématiques sont en cours sur tous les enfants nés à Gemelli ces derniers mois et le nombre de ceux qui sont positifs augmente tous les jours : 22 nouveaux cas viennent d’être découverts. Le scandale est d’autant plus grand que le mari de l’infirmière, lui aussi infirmier (les autorités refusent de communiquer leur patronyme), avait eu une pleurésie tuberculeuse en 2004, sans que personne ne s’inquiète du risque de contagion.
L’Italie est confrontée à une montée de la tuberculose, directement liée à l’immigration. À Milan, on dénombre depuis plusieurs années au moins 300 nouveaux malades par an, dont 70% sont des étrangers. L’inquiétude est particulièrement forte « en raison de la présence de nouvelles souches résistantes aux traitements, arrivées dans notre pays avec les flux migratoires les plus récents ». Un rapport officiel de 2009 par le Ministère de la Santé italien constatait : « L’augmentation progressive des cas de tuberculose parmi les personnes immigrées d’autres pays a produit de nouveaux problèmes dans la gestion de cette pathologie (difficulté d’accès aux services, barrières culturelles et linguistiques, difficultés de suivi) ». Le rapport préconisait « d’employer des médiateurs culturels dans les zones à forte proportion d’immigrés », tout en avertissant que « la question de programmes de dépistage parmi les immigrés provenant de pays à haute endémie tuberculeuse n’a pas été abordée ». Il ne faudrait évidemment pas « stigmatiser » ces populations.
Il n’y a pas que la tuberculose. À Otrante, dans les Pouilles, le centre d’accueil « Don Tonino Bello » a dû être fermé aujourd’hui en raison d’une épidémie de gale. Deux mineurs iraniens et un Afghan ont déjà développé la maladie. Les débarquements se succédant sans discontinuer sur les côtes du Salento (129 clandestins sont encore arrivés il y a quelques jours et ont été transférés à Otrante), le centre est surpeuplé et le risque de contagion particulièrement élevé.
Même la lèpre est de retour. Après l’émotion suscitée en 2009 par le cas d’une Srilankaise à Milan, une sommité médicale, le Professeur Claudio Viscoli, directeur de la Clinique des maladies infectieuses de l’Université de Gênes, s’était voulu rassurant : « il n’existe aucune urgence sanitaire liée aux flux migratoires qui arrivent dans notre pays ». Il avait pourtant dû avouer que « ces dernières années, il y a eu des cas de lèpre, de tuberculose et d’autres maladies typiques des pays non-européens (où elles sont endémiques) que l’on n’avait jamais vues en Europe » (http://www.ilgiorno.it/milano/2009/03/06/156241-caso_lebbra_milano.shtml). Un second lépreux, un clandestin égyptien, avait été découvert à Milan quelques jours plus tard (http://milano.corriere.it/milano/notizie/cronaca/09_marzo_18/lebbra_secondo_caso_dieci_giorni-1501098183894.shtml).
Comme toujours, la grande préoccupation du système politico-médiatique n’est pas de protéger les populations mais de lutter contre le « racisme ». En 1989, lorsqu’un clandestin marocain avait ramené la lèpre à Turin, La Repubblica, sous le titre « La lèpre déchaîne le racisme », s’était apitoyée sur les pauvres Nord Africains : « dans la colonie turinoise (ils sont 5 000 entre Marocains, Tunisiens et Algériens), ils craignent une autre croisade raciste à leur encontre. Certains diront à présent que, non contents d’être délinquants, trafiquants de drogue et violeurs, nous sommes encore porteurs de maladies graves ». C’est vraiment effarant tout ce que les Italiens racistes peuvent aller inventer !
Lorsqu’a éclaté l’affaire de la tuberculose à Gelmini, l’Amsi (Association des médecins d’origine étrangère en Italie) s’est hâtée de publier un communiqué pour mettre en garde contre le risque de « préjugés et alarmisme à l’encontre des élèves d’origine étrangère » dans les écoles. Les médecins d’origine étrangère soulignent que «les immigrés n’apportent pas de maladies, mais ils tombent malade en Italie à cause de leurs difficiles conditions hygiéniques et sanitaires, économiques, sociales, de travail et de logement ».
C’est à cause du racisme des Italiens que les immigrés ont la lèpre, rien de plus évident.
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Commentaires
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Qui a dit que l’immigration n’apportait rien aux pays d’accueil ?
En interne, les hôpitaux français ont aussi à traiter des maladies depuis longtemps éradiquées. Mais, chut, secret médical !
Dans un ordre proche, plusieurs reportages ont fait état de l'infestation de plus en plus fréquente de literie par des punaises !
Décidément, toutes les chances pour l'Europe, rappliquent sous les formes les plus subtiles, inattendues, du moins à ce niveau.
Les nouvelles armes de guerre contre nos Patries font florès, les bons antibiotiques sont connus pourtant, appliqués par l'Armée, la salubrité reviendrait vite.
@ turigol: il y a de nombreux lépreux à Marseille, dans certaines cités. Et ailleurs aussi en France.
Il s'agit de l'un des nombreux aspects du génocide des Européens
Que dire , sinon que l'on ne comprend pas pourquoi ceux-ci ne se révoltent pas contre leurs dirigeants .
Ces dirigeants pourraient envoyer balader l'Europe sataniste, fermer les frontières et expulser des gens qui n'ont rien à faire en Europe ; mais ils ne le font pas .... et parallèlement approuvent les israéliens qui eux construisent des murs de barbelés le long de leurs frontières auto-proclamées pour se protéger de l'immigration illégale .
Mais peu de gens comprennent le rapport entre ces deux situations et admirent les israéliens qui donneraient l'exemple (sic) .
@ Cat: excellent commentaire et analyse. Il y a en effet une contradiction flagrante.
LAISSONS ENTRER EN fRANCE toute la lépre du monde ! merci L UMPS....GAUTHIER13
@ Cat : permettez-moi de co-signer votre commentaire - excellente analyse !
il est évident qu,une chape de plomb politiquement correct , empéchera les autorités médicales et autres de dénoncer les causes et les effets!!
Cat , d,accord avec vous ! mais comme vous le savez bien , ne pas mélanger les torchons et les serviettes!
en attendant la grande peste , il reste beaucoup d,autres maladies, si on n,arrive à survivre à tout cela , on pourra aller prier , mais pas dans la rue!!
salutations.