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Guérande - Elle trouve une dent humaine dans une saucisse !

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Une Guérandaise a retrouvé, ce lundi, une dent plombée à l’intérieur d’une chipolata qu’elle était en train de manger. Après la dent trouvée dans un steak haché à Angers, début août, cette nouvelle affaire intrigue.

La chipolata surprise

Une dent dans une saucisse ! C’est la désagréable expérience vécue par une habitante de Guérande (Loire-Atlantique) âgée de 61 ans, qui entamait une chipolata à l’heure du déjeuner, lundi midi, en compagnie de son mari.

Voulant finir une barquette congelée commencée « vendredi, pour la venue des enfants », Claudine Dosset met sur son grille-viande les quatre saucisses restantes. Elles proviennent d’un emballage au nom d’un atelier de viandes et salaisons de Normandie et ont été achetées dans un magasin du secteur. Alors qu’elle mâche, elle sent « quelque chose de dur », rapporte son mari, Jean-Paul Dosset, 61 ans, gendarme à la retraite.

Une molaire sur pivot !

Son épouse retire alors de sa bouche une molaire plombée sur pivot. « Ce n’était pas à moi, je n’ai pas de dent sur pivot », s’empresse d’ajouter Claudine Dosset. « Pas à moi non plus, renchérit l’époux, j’ai deux dentiers. »

La mère de trois enfants est restée estomaquée et écœurée de la trouvaille. « Ça a été fini tout de suite, on est passé directement au yaourt ! », complète le mari, qui ne sait plus où a été achetée la barquette de chipolatas : « Elle était dans le congélateur depuis plusieurs mois. »

« Ça devient fréquent ces histoires-là ! »

Le couple a raconté la mésaventure à un voisin. « Il nous a demandé si c’était une blague ou quoi », souligne en souriant l’ancien gendarme. Il se souvient du feuilleton de l’été consacré à cette Angevine qui avait découvert, début août, une molaire couronnée à l’intérieur d’un steak haché. Cette jeune femme avait été ensuite victime d’une intoxication alimentaire. Mais l’analyse toxicologique avait conclu que la viande de la barquette n’était pas responsable.

Le chat a le dernier mot. Le couple de Guérandais promet de se renseigner auprès du fabricant pour savoir d’où peut provenir cette dent sur pivot : « On ne sait pas s’il faut en rire ou en pleurer. Mais ça devient fréquent, ces histoires-là ! » En attendant, c’est le chat de la maison qui a fini le plat de saucisses. Et lui ne s’en n’est pas plaint.

Michel ORIOT.

Source Ouest-France - 06/09/11

Commentaires

  • Je trouve lamentable le ton général de cet article de Ouest-France qui se veut humoristique. Le journaliste ne réalise pas ce que signifie ce genre de mésaventures qui semblent se multiplier. C’est la preuve que l’hygiène en France est en net recul et cela traduit dans les faits concrets de tous les jours le recul de notre civilisation, en voie d’arriération. Autrement dit, ce sont les Français qui sont en train de s’intégrer aux immigrés et non l’inverse.

  • Et si c'était de la chair de cadavre humain passée au mixer?

    Des vieilles dents à pivot.. Deux, déjà, retrouvées dans l'alimentation à bas prix!

  • à moins que le film soleil vert soit devenu une réalité!!
    nous sommes de plus en plus nombreux sur cette planéte et les ressources diminues!!!!
    salutations.

  • @ parvus: mais d'où proviennent ces dents humaines dans la barbaque hachée? Je vois mal les employés de la chaîne charcuterie arracher leurs dents branlantes pour les mettre dans la chair à saucisses! *

    On ne peut que pensr à "Soleil vert" ! La récup dans toute son horreur!

  • Oui, Soleil Vert !

  • @ tania: c'est de la viande de cadavres de SDF, passée à la moulinette!
    Tout fait ventre, se disent ces immondes.

    C'est Soleil vert, ce film prémonitoire!

    On ne mène aucune enquête sérieuse dans les ateliers où sont préparées ces hamburgers et saucisses!

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