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Personne n'est à l'abri de tout soupçon , bien sûr .
Mais dans ce genre d'affaires , c'est du donnant , donnant , donc on ne voit pas trop ce que JMLP pouvait accorder en contrepartie à Gombo.
Le problèmes est que cette accusation, qui fait passer Bourgi pour un fantaisiste, sert donc les intérêts de Chirac et de son premier couteau Villepin.
La tonalité de l'accusation est surtout tendance mrap, licra , crif, etc...
Venant d'un membre de la communauté arabe, dont l'estime pour les noirs n'est pas particulièrement connue , cela ne manque pas de sel.
Ces basses accusations sont en provenance directe de l'En- nemi au lendemain du grand succès de Marine Le Pen à Nice. La manoeuvre est grossière.
Il faut salir le père pour atteindre la fille!
Jean-Marie Le Pen n'est pas un homme corrompu.
Et de toute manière, il est bien trop fin et méfiant pour avoir accepté de l'argent d'Omar Bongo!
Très nauséabond...
Mais la vivacité de JMLP fait plaisir à voir!
Ces accusations se retourneront contre leur auteur!
Quatre considérations montrent qu’il s’agit d’une manœuvre politicienne téléguidée :
1. Bourgi ne parle de Le Pen que le lendemain de son accusation contre Chirac et Villepin. Dans la nuit, est-ce qu’on lui a tapé sur les doigts parce qu’il n’avait pas parlé de JLMP ? Il fallait qu’il se rattrape très vite !
2. Il est invraisemblable que Bongo lui ait fait cette confidence car il savait que si Chirac apprenait cette aide, il se retrouvait en mauvaise position vis-à-vis de Chirac qui, lui, pouvait le soutenir ou lui nuire, et non JMLP.
3. Bongo n’avait aucun intérêt à aider financièrement JMLP, sauf à vouloir supporter, à titre personnel, sa campagne électorale pour mieux faire connaître ses idées et son programme, puisque JMLP n’était pas en mesure de gagner. Mais dans ce cas ce serait flatteur pour JMLP et cela démontrerait que Bongo était un bon ami de JMLP et ne le jugeait pas raciste.
4. La petite phrase attribuée à Bongo, où il dit à peu près «JMLP a accepté l’argent d’un nègre» : Bongo, qui n’était pas masochiste, n’aurait sûrement pas donné de l’argent à quelqu’un qu’il jugeait raciste ! Encore une invraisemblance. On nage en pleine contradiction !
effectivement ,Le Pen à l,époque des soi-disants faits , ne pouvait pas accepter de l,argent d, Omar Bongo, vu que feu ce président s,adressait plutot à des présidents en place ou futur présidentiables!!
donc , depuis des décennies la France et l,Europe annule les dettes des pays Africains , et ensuite ils arrosent des politiques Européens en manque d,argent!!
quel cirque.
salutations.
Remarquable commentaire d'Abad !
Ruth El Crif nous fait son petit cinéma innocent ;o)
@ téléphobe: oui, oui... mais ça ne marche pas avec Le Pen!
;°)
Bravo à JMLP pour la fermeté de sa réaction face aux insinuations calomnieuses et mensongères de madame El-Krif.
Commentaires
Personne n'est à l'abri de tout soupçon , bien sûr .
Mais dans ce genre d'affaires , c'est du donnant , donnant , donc on ne voit pas trop ce que JMLP pouvait accorder en contrepartie à Gombo.
Le problèmes est que cette accusation, qui fait passer Bourgi pour un fantaisiste, sert donc les intérêts de Chirac et de son premier couteau Villepin.
La tonalité de l'accusation est surtout tendance mrap, licra , crif, etc...
Venant d'un membre de la communauté arabe, dont l'estime pour les noirs n'est pas particulièrement connue , cela ne manque pas de sel.
Ces basses accusations sont en provenance directe de l'En- nemi au lendemain du grand succès de Marine Le Pen à Nice. La manoeuvre est grossière.
Il faut salir le père pour atteindre la fille!
Jean-Marie Le Pen n'est pas un homme corrompu.
Et de toute manière, il est bien trop fin et méfiant pour avoir accepté de l'argent d'Omar Bongo!
Très nauséabond...
Mais la vivacité de JMLP fait plaisir à voir!
Ces accusations se retourneront contre leur auteur!
Quatre considérations montrent qu’il s’agit d’une manœuvre politicienne téléguidée :
1. Bourgi ne parle de Le Pen que le lendemain de son accusation contre Chirac et Villepin. Dans la nuit, est-ce qu’on lui a tapé sur les doigts parce qu’il n’avait pas parlé de JLMP ? Il fallait qu’il se rattrape très vite !
2. Il est invraisemblable que Bongo lui ait fait cette confidence car il savait que si Chirac apprenait cette aide, il se retrouvait en mauvaise position vis-à-vis de Chirac qui, lui, pouvait le soutenir ou lui nuire, et non JMLP.
3. Bongo n’avait aucun intérêt à aider financièrement JMLP, sauf à vouloir supporter, à titre personnel, sa campagne électorale pour mieux faire connaître ses idées et son programme, puisque JMLP n’était pas en mesure de gagner. Mais dans ce cas ce serait flatteur pour JMLP et cela démontrerait que Bongo était un bon ami de JMLP et ne le jugeait pas raciste.
4. La petite phrase attribuée à Bongo, où il dit à peu près «JMLP a accepté l’argent d’un nègre» : Bongo, qui n’était pas masochiste, n’aurait sûrement pas donné de l’argent à quelqu’un qu’il jugeait raciste ! Encore une invraisemblance. On nage en pleine contradiction !
effectivement ,Le Pen à l,époque des soi-disants faits , ne pouvait pas accepter de l,argent d, Omar Bongo, vu que feu ce président s,adressait plutot à des présidents en place ou futur présidentiables!!
donc , depuis des décennies la France et l,Europe annule les dettes des pays Africains , et ensuite ils arrosent des politiques Européens en manque d,argent!!
quel cirque.
salutations.
Remarquable commentaire d'Abad !
Ruth El Crif nous fait son petit cinéma innocent ;o)
@ téléphobe: oui, oui... mais ça ne marche pas avec Le Pen!
;°)
Bravo à JMLP pour la fermeté de sa réaction face aux insinuations calomnieuses et mensongères de madame El-Krif.