Un Algérien de 32 ans, écroué pour avoir torturé et tué un couple de retraités à Maurepas (Yvelines) début septembre, a déclaré être resté huit heures avec les victimes le jour des faits, selon le procureur de la République de Versailles, Michel Desplan.
Resté au domicile des victimes de 13 h à 21 h
« Benyahia Lezzaz a indiqué être arrivé à 13 h le jeudi (1er septembre) » au domicile des victimes « et être reparti à 21 h », a dit M. Desplan lors d’une conférence de presse, précisant que l’homme avait agi seul. Selon les premiers éléments de l’enquête, le trentenaire, venu chercher du courrier chez les retraités, s’est emporté après avoir reçu une lettre de son avocat lui réclamant des honoraires.
Le ton est monté avec les personnes âgées et le jeune homme a pris une bouteille pour frapper la vieille dame. Il s’est ensuite emparé d’un couteau de cuisine pour frapper le septuagénaire à plusieurs reprises.
L'homme est parvenu à obtenir le code de la carte bancaire du couple, qu’il a utilisée à plusieurs reprises le lendemain, jour de la découverte des corps dans leur modeste pavillon de Maurepas, près de Trappes (Yvelines).
Les deux retraités avaient été retrouvés ligotés avec du fil de fer. L’autopsie a révélé que le couple a été torturé, avant d’être égorgé.
Les victimes lui ont ouvert la porte sans méfiance
Aucune effraction n’avait été constatée au logement du couple, anciens employés de l’Inra (Institut national de la recherche agronomique) âgés de 72 et 74 ans. Le pavillon avait été en revanche complètement fouillé.
Le couple avait sympathisé avec le jeune homme « plusieurs mois » auparavant, le vieil homme parlant l’arabe. Les septuagénaires réceptionnaient son courrier pour faciliter ses démarches administratives afin d’obtenir un titre de séjour. « Il les appelait « papy » et « mamy », donc les victimes lui ont ouvert leur porte sans aucune méfiance », a ajouté le procureur.
Selon le directeur de la police judiciaire de Versailles, Philippe Bugeaud, l’auteur présumé n’était connu ni de la police ni de la justice. « Il vivait de petits boulots et résidait occasionnellement avec son père dans un foyer à Coignières » (Yvelines), a-t-il précisé.
Pour expliquer son passage à l’acte, le jeune homme a dit aux enquêteurs avoir pris des médicaments peu avant les faits. « Mais les cachets n’ont pas été retrouvés », a poursuivi M. Bugeaud.
Le suspect, interpellé vendredi soir à l’aéroport d’Orly en provenance de l’Algérie, a été mis en examen pour « assassinats » ainsi qu’« actes de torture ou de barbarie sur des personnes particulièrement vulnérables » et écroué dimanche soir.
Ouest-France - 19/09/11
Commentaires
Ce malheureux couple de retraités est une victime directe de l’immigration. Il faut souligner qu’il est avant tout victime de la propagande médiatique en faveur de l’immigration : ils ont cru bien faire en cherchant à aider cet immigré clandestin à obtenir des papiers.
Que ce drame serve de leçon à ceux qui ont la même naïveté à avaler cette propagande et à vouloir aider ces immigrés.
plus crapuleux que ce crime difficile a trouver .
Qui sont les racistes ? a votre avis.....
En tous cas, ce ne n'étaient pas les deux vieux Français torturés et égorgés...
Oui, victimes aussi de la propagande! Quelle horreur...
d,autres Français vivent encore et toujours dans l,angélisme béat ou le consensus , voir ceux et celles qui ravitaillaient les résidents de sangatte !!
la propagande , devrait pourtant s,effacer devant les nombreux faits-divers qui défraient la chronique quotidienne, mais certaines personnes restent indécrottables sur ce point.
je dirais que certains européens sont bien plus naifs et je ne parle de cette fameuse charité chrétienne, que les sujets du maghreb!
salutations.
HELAS CETTE propagande est abondante sur les sites gauchistes et les "régionaux" , dont personnellement j ai ARRETE LA LECTURE.....GAUTHIER 13009
C'est triste à dire, mpais on les aurait mis en garde, ils nous auraient répondu qu'il ne fallait pas être "raciste",ni se méfier de tout le monde, etc... Ils ont payé très cher leur grande naïveté.