Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Hausse de la TVA avant une élection...

Il faut faire rentrer de l'argent dans les caisses. Pour réduire les déficits publics et boucler le budget 2012, le gouvernement réfléchirait - entre autres - à une hausse de la TVA. Principale piste envisagée, la création d'un nouveau taux intermédiaire entre 5,5 % et 19,6 %. Ce taux pourrait être de 7 % et rapporterait jusqu'à 6,5 milliards d'euros à l'Etat, explique Le Parisien jeudi. Cette hausse pourrait s'accompagner d'un allégement des charges sociales payées par les entreprises.

Un peu forcé par l'urgence budgétaire, un peu contraint par la probable révision à la baisse des prévisions de croissance, le gouvernement relance une piste souvent évoquée. Le débat "n'est pas tranché", a affirmé jeudi le ministre de l'Economie, François Baroin. Il s'agit d'un "débat d'après-2012" affirme l'UMP Gilles Carrez, rapporteur général du Budget. "le moment n'est pas venu" affirme le député Jérôme Chartier. "On n'en est pas là" dit le chef de file des députés de la majorité, Christian Jacob, cité par Europe 1. Bref, peu de chances que la majorité avance unie sur ce chantier avant les prochaines échéances électorales.

En mémoire, 2007 et l'entre deux-tours des législatives

Les élus UMP ont certainement en mémoire l'année 2007 et l'entre deux-tours des élections législatives, quand l'évocation d'une hausse de la TVA avait pourri la majorité naissante.

Le 10 juin 2007, confronté à Laurent Fabius pour la soirée électorale du premier tour, Jean-Louis Borloo, alors ministre de l'Économie, n'exclut pas l'introduction d'une TVA sociale, comprenez une hausse de la TVA.

Dans la foulée, François Fillon confirme qu'il s'agit bien d'un sujet à l'étude, et évoque même une augmentation de 5%, portant la TVA à 25,6%. Le 14 juin, l'Elysée publie un communiqué pour dire que Nicolas Sarkozy (...) Lire la suite sur LePost.fr

27/10/11

Commentaires

  • Et une nouvelle augmentation des impôts. Il ne leur viendrait pas à l’idée de diminuer les dépenses. Par exemple en diminuant leurs dépenses personnelles somptuaires et en mettant fin à l’immigration clandestine qui nous coûte entre 30 et 60 milliards selon les estimations.

  • 577 députés, 343 sénateurs, 30 ministres et secrétaires d'Etat ( et j'en oublie certainement)
    Si on leur baissait leur salaire de 1 000 €, et ils auraient encore de quoi bien vivre, on ferait 950 000 € d'économie par mois
    950 000 x 12 = 11 400 000 €
    En 3 minutes j'économise plus de 11 millions d'euro

  • Suppression de l'impôt sur le revenu , des taxes foncières et d'habitation etc.. par la TVA , qui est l'impôt le plus juste.
    Ainsi ceux qui vivent d'allocs et de fraudes( fraudeurs riches ou pauvres) paieront l'impôt comme tout le monde.
    On pourrait ainsi supprimer un nombre impressionnant d'emplois de fonctionnaires, fonctionnaires qui ne seront évidemment pas licenciés mais "redéployés " dans d'autres secteurs, dans l'attente de leur mise à la retraite.
    Il me souvient que c'était le programme de JMLP à une époque.
    Mais la France est un pays trop soviétisé, sous la coupe de syndicats malfaisants alliés avec la caste, pour que de bonnes mesures soient prises.
    Ainsi ce sont toujours les classes modestes et moyennes qui vont encore trinquer, jusqu'à ce que la France soit complètement ruinée.
    Autour de moi, j'entends des jeunes et des beaucoup moins jeunes qui envisagent de quitter ce pays soviétisé jusqu'à l'os.
    Sarkozy aurait pu aller dans ce sens depuis 2007, et bien au contraire, il a augmenté l'assistanat (Bachelot considère qu'il n'y a pas encore assez de jeunes qui touchent le RMI jeunes !!!!! )et la bureaucratie déjà démentielle.
    Il se permet de donner des leçons aux autres pays sur leur endettement, alors qu'il est le champion de la dette !

Les commentaires sont fermés.