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Discours de clôture de Marine Le Pen à Metz (intégral)


Meeting Marine Le Pen a Metz par MarineLePen

Intervention de Thierry Gourlot, Conseiller au dialogue social et discours de clôture de Marine Le Pen, candidate à l’élection présidentielle de 2012, lors d’un meeting à Metz en Lorraine.

Mes chers compatriotes, de métropole et d’Outre-mer, mes chers amis,

Quel immense bonheur de vous voir aussi nombreux réunis malgré les voyous qui bloquent la circulation et qui, dans la France de Nicolas Sarkozy, ont tous les droits, nous voici réunis pour une cause qui nous arrache à l’individualisme ambiant, une belle cause, une cause supérieure, une cause qui nous rassemble dans nos cœurs et nos histoires : la France.

Car je suis venue ici pour vous parler de la France, et de son avenir.

Quand les journalistes et les commentateurs me demandent quel sera le thème principal de ma campagne, quand ils me demandent de quoi je compte parler : je ne peux que leur répondre: la France.

Oui, je vais parler aux Français de la France ! En 2011, quand toutes les élites ont les yeux rivés sur l’Union européenne et les cours du CAC 40, voilà qui, étrangement, étonne ; voilà qui, indubitablement, dans le petit monde politicien, détonne.

Je vais donc parler aux Français de leur pays, de notre pays, parce qu’il est le grand oublié de cette campagne présidentielle. C’est pourtant, je l’ai toujours su, en parlant de la France que l’on accède à la vérité du peuple français.

Et sur cette terre de Lorraine, cette vieille terre française de Lorraine, tout le monde me comprend. Parce qu’ici, peut-être plus encore qu’ailleurs, on a la France au cœur. Ici, le patriotisme, l’amour de la patrie, est une valeur vivante, une réalité toujours ardente, une vérité insubmersible que le mépris des élites pour la nation et la France ne parviendront jamais à éteindre.

« Il n’y a que deux choses à faire avec un drapeau : ou le brandir à bout de bras ou le serrer avec passion contre son cœur ». Voici ce que disait Paul Claudel.

À l’époque où l’on ose se torcher avec le drapeau français, à l’époque où l’on tolère qu’il soit ici brûlé, et là remplacé par un drapeau étranger, relisons cette phrase, et saisissons-en le vibrant message.

Bleu Blanc Rouge, voilà trois couleurs qui nous parlent.

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NPI

 

Commentaires

  • Très bon discours de Gourlot !
    Et belle réunion, pleinement réussie, malgré les voyous-démocrates !

  • si quelqu'un peu me dire c'était quoi la musique d'ouverture se serait sympa, depuis dimanche je la cherche

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