Son président Gabor Vona a déclaré le 28 janvier, lors d’un rassemblement du Jobbik, le parti nationaliste hongrois : « nous ne sommes pas communistes, nous ne sommes pas des fascistes, nous ne sommes pas des nationaux-socialistes, mais nous ne sommes pas des démocrates non plus. »
Dans un discours très offensif, il a résolument rejeté tout compromis avec l’adversaire : le devoir des Hongrois est de « se battre », en refusant « la paix avec ce régime qui est contre la nation, contre les hommes, et contre Dieu. »
C’est une étape supplémentaire qui est ainsi franchie par le mouvement magyar, qui bénéficie de 19% d’intentions de vote, et qui s’est fait remarquer par son opposition totale au sionisme.
Parmi les dernières « provocations » du Jobbik, on retiendra le souhait émis que les juifs renoncent à leurs indemnités shoatiques pour rééquilibrer le budget du pays.
Où va donc la Hongrie?
La dernière manifestation de masse du Fidesz, le grand parti conservateur, a montré combien il glissait lui-aussi vers les positions de la droite nationaliste, en déployant des banderoles très violentes contre Bruxelles. On avait ainsi pu y lire le slogan « Nous ne serons pas une colonie »
Contre-info.com - 02/02/12
Commentaires
un parti qui défends les citoyens Hongrois et leur patrie , une horreur extréme pour les mondialistes de Bruxelles!!
salutations.
Voilà enfin un vrai parti politique sincère et courageux : il est vraiment au service de ses militants dont il défend la cause haut et fort ! Bravo !