08/03/2012
BORDEAUX (via Infos Bordeaux) — C’est une jeune mère de famille indignée qui a contacté lundi dernier Infos-Bordeaux. Dans le cahier de liaison de son enfant, son professeur lui remettait une note de l’Education nationale pour la rentrée en CP à l’école primaire publique David Johnston.
« A partir de la classe de CP, et sous certaines conditions, votre enfant peut recevoir à l’école l’enseignement de la langue turque, tunisienne, marocaine, algérienne ou portugaise » est-il précisé. Le ministre de l’éducation nationale avait pourtant déclaré que « l’école devait se recentrer sur les fondamentaux ».
Il est vrai que cet établissement scolaire est situé non loin du quartier multi-ethnique du Grand-Parc, qui a récemment défrayé la chronique avec l’annulation de l’achat d’un terrain qui devait héberger une mosquée.
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Commentaires
Il y a longtemps que notre éducation dite nationale n’enseigne plus l’écriture, le calcul et l’orthographe. Par contre, pour l’arabe sous toutes ses formes, elle s’y emploie. L’école est devenue anti-nationale et devient peu à peu une école coranique, où on n’y apprend rien, sauf à ânonner le Saint Coran.
cela va de soit , vu le programme du grand remplacement!!
salutations.
Jean Alcader dans "musulmans convertis" parle de parents qui exigent la suppression du signe + dans les additions, car il rappelle une croix.
La connerie à ce niveau est incurable.