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"Marine, notre Jeanne, notre Marianne": cri d'amour d'une jeunesse à Marine !

Posté par le 3 avril 2012

 

Tribune libre de Julien Rochedy, Président des Jeunes avec Marine Le Pen

Marine, notre Jeanne, notre Marianne.

Vous ne pouvez mesurer le bonheur des jeunes militants du Front National d’avoir Marine.
Vous ne pouvez imaginer quel espoir grandiose elle suscite parmi un nombre formidable de jeunes Français.
Jusqu’à présent, nous étions condamnés à taire notre amour de la France, à l’investir ailleurs qu’au Front National – là où il serait toujours déçu – ou à le voir forcé de ne pas pouvoir dépasser un certain plafond de verre, honni comme il l’était par le truchement de la "diabolisation" de Jean-Marie Le Pen.
Lorsqu’on faisait de cet amour la condition de la survie de la patrie, de la prospérité économique, de la liberté, de la République et, d’une manière générale, de la civilisation, gageons que nous étions souvent tristes et turbides, et désespérant de l’avenir.

Mais c’était avant l’arrivée de Marine sur le devant de la politique française.

Plus le temps avance, plus je la rencontre au gré d’une réunion ou d’une manifestation pour le Front National, plus je la suis, la lis, l’observe, plus je dois dire que je suis fasciné par elle. Jamais je n’eusse cru une telle chose possible. Etre fasciné par un homme politique contemporain, une femme qui plus est, quelle idée ! Et pourtant j’en suis là. Cela appartient peut-être à sa vie : survivante d’un attentat abominable à 8 ans ; jeune fille cherchant à trouver sa place dans le monde, malgré le nom qu’elle porte ; orpheline de sa maman partie sans lui dire au revoir ; travaillant, bûchant pour devenir avocate, pour construire d’abord sa vie loin de la politique qui l’avait tant fait souffrir étant jeune ; mère de trois enfants, dont deux jumeaux ; divorcée, indépendante, forte comme tout, puis rattrapée comme un destin par la vie politique, s’y investissant, s’y forgeant un prénom (plus dur encore qu’un nom), affrontant toute une vieille garde du parti réfractaire, triomphant d’eux et des préjugés, pour enfin amener un parti mis au ban au bord du pouvoir… Il y a quelque chose de fantastique. Saupoudré de tribulations familiales, d’un rapport dual et à la fois passionné avec son père, il y a même quelque chose de romanesque. Lire la suite de cet article »

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