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Carla Bruni s'offre une pause au cap Nègre

 

Carla Bruni-Sarkozy, le 12 janvier 2012 à Garches (Hauts-de-Seine)
 

La première dame a manifestement besoin de repos. Carla Bruni-Sarkozy, qui dit ne pas se mêler de politique mais ne rate pas une occasion de vanter les mérites de son mari en public, devrait passer la semaine prochaine dans sa résidence du cap Nègre (Var). Des vacances pour récupérer du rythme effréné de la campagne ? La veille encore, l'ancien mannequin de 44 ans avait accompagné le président-candidat lors de la visite d'un centre hospitalier de Fréjus. Ce dimanche, elle est par contre restée dans la villa familiale pendant que son époux pédalait sous le regard des journalistes, photographes et badauds.

Il faut dire que celle qui se dit « ultra-sarkozyste » ne ménage pas sa peine. Outre les visites de terrain et les apparitions en meeting, Carla Bruni-Sarkozy donne régulièrement des entretiens à la presse. « Il a un sens du devoir, Nicolas, inimaginable. Il n'arrête jamais. Il travaille tout le temps, il travaille tout le temps, il travaille 20 heures par jour. J'ai peur qu'il meure, qu'il tire trop sur la corde », s'exalte-t-elle encore cette semaine dans une interview de deux pages au Nouvel Observateur. Et la chanteuse en stand by de se livrer elle aussi au petit jeu des promesses de campagne. « Si Nicolas est réélu, j’essaierai de soutenir les femmes. Et je poursuivrai mon combat contre l’illettrisme », jure celle qui dirige depuis 2009 la fondation éponyme Carla-Bruni-Sarkozy.

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Valérie Trierweiler, "spectatrice engagée"

Trop investie, l'épouse du président ? Il faut dire qu'« en face », Valérie Trierweiler ne reste pas les bras croisées. Celle qui partage la vie de François Hollande depuis 2007 n'aurait « aucun rôle politique » à en croire le candidat socialiste lui-même. « Je ne veux pas entrer en compétition avec Carla Bruni », a d'ailleurs expliqué la journaliste politique de 47 ans. Il n'empêche, cette mère de trois enfants apparaît régulièrement au côté de son compagnon et dispose d'un bureau à son QG de campagne, qu'elle dit utiliser rarement. Si elle s'est astreinte à un certain silence depuis janvier, elle s'est livrée longuement à Libération, dans un entretien publié ce week-end. Celle qui se définit comme un « spectatrice engagée », « socialement de gauche » et « hollandaise » dit vouloir répondre aux « interprétations pas toujours justes sur (son) rôle » ou « (sa) pseudo-influence » sur le candidat socialiste. En cas de victoire de François Hollande le 6 mai, elle l'assure, elle « continuer(a) à travailler, d'une façon ou d'une autre ».

Par G. F. V
 
France-Soir - 08/04/12

Commentaires

  • Elle a le droit de dire « cap-nègre » ? JMLP n’a pas le droit de dire « nègre-esco » !

  • Les deux font la paire !
    UMPS !

    Toutefois la dame ex-Trierweiler a oublié d'être modeste! Quand on lit le lien mis par Gaëlle,on se dit qu'elle s'y voit déjà à l'Elysée !

  • Cher abad, d'autant plus que Negresko est un nom propre, celui du fondateur de ce palace! Voici ce que j'ai trouvé sur Wikipédia: "Il naît sous l’impulsion du Roumain Henri Negresco qui durant de nombreuses années et dans les palaces de toute l’Europe, fut le maître d’hôtel irremplaçable auprès de clients richissimes.

    Dans les années 1910, il caresse l’ambition d’édifier son propre hôtel de luxe, sur une parcelle de terrain de 6 500 m2 à côté de la villa Masséna. À son projet, il intéresse l’industriel Alexandre Darracq, et confie la conception de l’édifice à l’architecte Édouard Niermans. Le plan adopté et corrigé par Negresco rappelle celui du Grand Hôtel de Madrid. Le délicat montage financier lors de la création de la SICA (Société Immobilière Côte d’Azur) retarde son ouverture de quelques semaines.

    Enfin, le 4 janvier 1913, le palace connaît une brillante inauguration où sont présentes plus de sept têtes couronnées. Chacun s’extasie devant le grand hall elliptique de style Louis XVI, la rotonde lumineuse, le tapis géant d’un coût de 300 000 francs de l’époque ou encore l’ameublement signé Paul Dumas dans les 450 chambres."

    Aucune connotation "raciste" n'est possible! Ce journaliste ne connaît pas l'histoire du Negresko, il est inculte!Et se croit très malin!

    Mais on ne parle jamais de débaptiser le cap Nègre!
    Cap Banania ?

  • D'ailleurs, on ne dit plus non plus "Monténégro", mais "Après vous Monsieur l'ambassadeur" :-))

  • Et l'art negre?Par quoi le remplacer? L'art noir, l'art black?
    Mais c'est du pareil au meme!
    http://actesbranly.revues.org/482

  • d,ailleurs l,effigie du tirailleur Sénégalais sur les anciennes boites de Banania était plutot sympha et n,avait aucune connotation de quelque sorte , mais le politiquement correct a encore frappé !!
    salutations.

  • Merci à Nelly pour ce lien.

  • Dirk !

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