Posté par Marcel Bibe le 1er juin 2012
Communiqué de Michel Thooris, conseiller de Marine Le Pen lors de la campagne présidentielle pour les questions de sécurité
A peine installé place Beauvau, Manuel Valls réfléchit à l’idée de faire distribuer un récépissé à toute personne faisant l’objet d’un contrôle d’identité de la part des forces de l’ordre.
Ce récépissé, qui comporterait notamment le numéro de matricule du fonctionnaire, aurait pour objectif de lutter contre les contrôles au faciès. Il permettrait également aux individus contrôlés de déposer plainte plus facilement contre le policier en ayant ainsi son numéro de matricule.
Monsieur Valls est-il au courant que suite aux émeutes de 2005, les contrôles d’identité ont été supprimés dans les 700 cités interdites de la République ? Monsieur Valls est-il au courant que dans ces quartiers, les services de l’Etat ne peuvent plus entrer sans être attaqués par des émeutiers ?
En réfléchissant à ce récépissé, Monsieur Valls dévoile son idéologie au grand jour. Pour lui et ses amis, se trouvent d’un côté les policiers auteurs de contrôles au faciès et de l’autre, les « jeunes » qui sont victimes de contrôles au faciès.
Est-ce le plan de bataille de la Gauche plurielle pour lutter contre les gangs de narcotrafiquants que de leur distribuer des récépissés ? Ce qui pose problème en France, ce ne sont pas les contrôles au faciès mais toute cette racaille qui fait la loi dans les quartiers.
Les 10 et 17 juin prochains, il faut porter un maximum de députés du rassemblement bleu marine soutenus par Marine Le Pen dans l’hémicycle pour empêcher cette Gauche plurielle là d’avoir une majorité au Palais Bourbon.
Commentaires
S' il n'y avait que des sheriff Arpaio!
Il n'abandonne pas la lutte a pres de 80 ans.
http://en.wikipedia.org/wiki/Joe_Arpaio
Le dégoût pour ce genre de personnage est d'autant plus grand que ses ancêtres ne sont pas Français.
La France a commis l'imprudence de naturaliser certains individus, qui, en remerciements, lui crache dessus, avec une audace répugnante.