Lever de soleil sur la mer (1822)
Clair de lune dans la forêt (1823- 1830)
Soir sur la mer Baltique (1830-1834)
L'été (1807)
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Lever de soleil sur la mer (1822)
Clair de lune dans la forêt (1823- 1830)
Soir sur la mer Baltique (1830-1834)
L'été (1807)
Commentaires
Merci Gaelle de nous enchanter avec ces nouveaux C.D. Friedrich, dont "l 'été" nous révele une facette lumineuse peu connue de la facture du Maitre.
"Soir sur la mer Baltique" nous évoque irrésistiblement Jacques Brel et ses "langueurs océanes" meme si la Baltique n est qu une petite mer ...
"Le divin est partout, jusque dans un grain de sable" (C.D.FRIEDRICH). Nul mieux que lui ne représente mieux le romantisme allemand dans la peinture et son panthéisme, tout ce qu'il y a de plus "païen" au sens le plus noble et traditionnel de ce terme. La peinture et la poésie sont les derniers refuges de cette pensée païenne pourchassée par le monothéisme oriental et le matérialisme.
(A lire les excellents commentaires sur Wikipedia).
Merci Gaëlle pour ces peintures évocatrices de cette profondeur du Nord qui nous relie au sacré.
Splendides peintures. Celle que je préfère, c’est l’été.
Merci Gaelle de mettre de l'air pur, de la beauté, dans ce monde pervers et malade, c'est un remède contre le découragement honni par Maurras, et un calmant contre un excès de colère, que trop légitime.
Merci, chère Gaëlle!
Ma préférence va à "Lever de soleil sur la mer" et "Soir sur la mer Baltique"!
Les 3 premiers sont vraiment très beaux!
@ raul: je les aime tous! L'été, c'est la plénitude de la vieille terre européenne sous le soleil, celle de ses fleuves, rivières, prairies et moissons. Un jeune couple s'aime sous le grand arbre.
Grâce à Friedrich, on découvre que l'Allemagne est un pays magnifique autant que mystérieux... ou mystique.
Tous ses tableaux sont conservés dans les musées de Dresde, Munich ou Berlin.
Chère tania, ne me remerciez pas, car j'ai un grand plaisir à choisir ces tableaux et à les mettre sur le blog!
Amitiés!
Merci turigol, vous comprenez mon intention.
Cher abad, L'été de Friedrich, c'est le chant du monde!
L'horizon s'ouvre à l'infini...
@ dirk: c'est bien cela que je ressens devant ces tableaux.