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Un lycéen ardennais 1er Prix au Concours général des métiers de la fonderie

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Vincent Henrot, en terminale au lycée Bazin (08), décroche le 1er prix du Concours général des métiers de la fonderie.

Vincent Henrot, élève de terminale du lycée Bazin de Charleville-Mézières, à reçu le 1er prix du Concours général des métiers de la fonderie.

 

Ce concours de prestige distingue les meilleurs élèves présentés comme candidats par les Lycées d'Enseignement Général et les Lycées d'Enseignement Professionnels

 

Cette année 15 621 candidats ont été présentés au Concours général des lycées et au Concours général des métiers, dans 54 disciplines.

147 de ces candidats ont reçu leurs prix cet après-midi, à la Sorbonne à Paris.

 

Parmi eux,Vincent Henrot élève de terminale en Bac Pro Fonderie:

lauréat du 1er prix de la section d'enseignement professionnel du Lycée Polyvalent François Bazin, à Charleville-Mézières.

 

Lors de la finale du Concours général, fin Mai dernier, Vincent Henrot a travaillé sous les yeux du jury, à Charleville-Mézières, dans l'atelier de fonderie du lycée, avec plusieurs autres concurrents.

 

Vincent Henrot a reproduit une oeuvre, du fondeur Ardennais Jean-Noël Martin: la sculpture d'une carpe. Tout un art.

 

Il faut savoir fabriquer le moule, puis le remplir de métal en fusion. L'opération de démoulage des pièces métalliques doit se faire avec précaution.

 

Le métier n'est pas sans risque: Les fondeurs de métal s'habillent d'une combinaison ignifugée, et portent des gants de protection, des lunettes, un casque, un masque.

 

 

Le prestigieux Concours général, qui distingue les meilleurs élèves dans plusieurs dizaines de disciplines. Il décerne aussi des accessits et des mentions.

 

Créé en 1744 par l'abbé Legendre, le Concours général compte d'illustres lauréats comme les écrivains Charles Baudelaire et Victor Hugo ou des scientifiques comme Louis Pasteur, des hommes politiques comme Jean Jaurès, Léon Blum, Alain Juppé ou Jean-Pierre Chevènement.

 

Le Concours général a évolué au fil des années et distingue les meilleurs élèves des lycées d'enseignement général, technologique et professionnel ainsi que des centres de formation d'apprentis.


Le trio de tête des établissements les plus récompensés reste inchangé: les lycées
parisiens Henri IV (27 récompenses dont 8 prix) et Louis-le-Grand (21 récompenses
dont 8 prix) et le Lycée international à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines, 10 récompenses dont 3 prix).

 

Commentaires

  • C'est une excellente chose que de faire la promotion de ces métiers manuels et artistiques. Les jeunes qui entrent dans ces filières ont beaucoup plus de plomb dans la cervelle (et de chances d'emploi s'ils ont la bonne formation) que les millions de paumés qui vont faire un bac général puis "faire la fac" et se retrouver aigris et revendicatifs à Pôle Emploi !
    J'ai été candidat malheureux au concours général (en géographie) lorsque j'étais en classe de philo

  • quoi! un souchien , cauchemardesque pour la gauche bobo!!
    salutations.

  • Bravo à ce jeune lycéen !
    Jusqu’à la fin des années 1950, les prix étaient remis par le Président de la République en personne. Cette habitude s’est perdue avec l’arrivée de De Gaulle au pouvoir qui ne s’y intéressait pas.

  • On aimerait voir son chef-d'oeuvre ! Félicitations à Vincent Henrot!

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