Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

PSA refuse de vendre à l'Iran pour des raisons politiques - Le groupe vendait à l'Iran 450.000 véhicules par an

 

Commentaires

  • Autrement dit : les salariés français sont sacrifiés sur l'autel de la politique menée par l'Axe du Mal Washington-Paris-Tel Aviv.
    Mais par quel genre d'imbéciles sommes-nous gouvernés ???

  • PSA, pour faire plaisir au lobby qui n’existe pas, sacrifie ses emplois, en plein accord avec nos gouvernements soumis au même lobby ! Alors, assez d’hypocrisie, le gouvernement est complice de cette ‘crise’. Une fois de plus, les gens doivent se poser la question : pour qui ont-ils voté ?

  • Cher abad, je ne savais pas que PSA refusait de vendre à L'Iran, le groupe préfère ainsi mettre 8000 ouvriers au chômage par pure idéologie mondialiste, pour satisfaire le PLAN que l'on sait! - et cela, ce refus du marché iranien, ON nous le cache soigneusement!


    Or, l'Iran n'est absolument coupable de rien! C'est monstrueux!

  • @ dirk: par des sionistes pur jus!

    Je me demande si les ouvriers musulmans de PSA sont au courant?

    Des ouvriers de PSA ont voté pour Marine, ils le disaient ouvertement, sans crainte, c'étaient des Blancs qui avaient compris. Mais trop peu nombreux, hélas!

    Voilà une révélation que Mélenchon n'a jamais faite! Refus d'un marché en pleine crise! - Grande gueule rouge, mais prudente avec le lobby...

  • Le nain difforme aurait agi de la même façon , c'est une certitude !

  • Gaelle , méme si les employés musulmans de PSA le savent , ils ne peuvent pas grand-chose , d,ailleurs ils doivent étre aussi bien manipulés que les autres par les syndicats!!
    salutations.

  • Cette idée de refuser de vendre à l'Iran est relativement nouvelle.
    Il se pourrait bien que ce soit là l'influence du nouveau partenaire de PSA, l'américain General Motors !
    General Motors s'était déjà fait remarqué (en politique) en changeant d'avis au sujet de la vente d'Opel, quand celui-ci devait être en partie repris par une entreprise (et usine) russe.

Les commentaires sont fermés.