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Syrie : pour Ban Ki-moon, l’escalade du conflit à Alep est le fait des « rebelles »

 

 

Des "rebelles" jihadistes bien équipés et armés à l'occidentale

La « grande presse » ne l’a évidemment pas révélé : le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon a reconnu que les « rebelles » syriens étaient à l’origine de l’escalade du conflit à Alep, deuxième ville et capitale économique de la Syrie.

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Guennadi Gatilov a annoncé sur son Twitter que « le secrétaire général de l’ONU a émis un avis objectif sur la situation en Syrie. Il a reconnu que l’escalade du conflit à Alep avait été provoquée par les activités des rebelles ».

Par ailleurs la chaîne satellitaire libanaise Al-Mayadin a rapporté vendredi que les forces gouvernementales syriennes avaient établi leur contrôle sur le quartier Salaheddine de la ville d’Alep, considéré comme le principal bastion des combattants anti-Assad. Selon l’agence d’information officielle Sana*, les troupes gouvernementales ont « nettoyé » les quartiers d’al-Assileh et de Bab al-Nasser et infligé de lourdes pertes aux « rebelles » à Alep. D’après le journal syrien indépendant Al-Watan, les forces régulières cherchent à resserrer l’étau autour d’Alep afin de couper les voies d’approvisionnement des « rebelles » depuis la Turquie voisine et de les empêcher de fuir.

Source

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* Selon une information du JDD, un journaliste de Sana, Ali Abbas, a été assassiné samedi à son domicile dans la province de Damas, ont rapporté l’agence et l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH). « Dans une nouvelle agression contre la presse nationale et ses cadres, un groupe terroriste armé a assassiné samedi soir le journaliste Ali Abbas, directeur du département des informations locales à l’agence, à son domicile dans la localité de Jdaidet Artouz », a indiqué Sana.

Commentaires

  • Depuis plusieurs jours on ne nous parle plus de Ban Ki-moon. Il n’est plus en odeur de sainteté ? Cela prouve bien son revirement sur l’affaire de la Syrie !

  • une évidence méme , sans l,appui de l,otan et de certains pays Arabes , les rebelles seraient déjà écrasés ou rentrer dans leurs bleds respectifs!!
    salutations.

  • C'est très clair : le vent tourne ! Et Ban Ki Moon le sait !

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