Photo satellite des Monts Zagros (Iran)
Ces vestiges comprennent parfois même des ceps ou des grains desséchés : c’est le cas à Shulaveris-Gora, en Géorgie, et à Çayönü, dans le sud-est de la Turquie, où ils ont été datés des environs de -6000. Les fouilles récemment réalisées sur les rives du Tigre et de l’Euphrate (sites de Nevali Çori, Körtik et Hallan Çemi) ont mis au jour des céramiques et des vaisselles caractéristiques : utilisées pour la consommation et l’offrande de boissons fermentées, ou dédiées au service du vin, elles témoignent aussi, aux côtés de la viticulture, de l’émergence de pratiques culturelles liées au vin.
Pour en savoir plus, consultez le dossier "Archéologie du vin : de la préhistoire aux Temps modernes" réalisé par l'Inrap
En savoir plus : http://avis-vin.lefigaro.fr/connaitre-deguster/o32133-archeologie-le-premier-vin-de-lhumanite#ixzz261169up4
Commentaires
Le premier poivrot involontaire, fut Noé, deux de ses fils le respectèrent, le troisième encourut la malédiction paternelle pour ses moqueries.
Sans doute un grand cru, non millésimé.
C'est fascinant.
L'une des grandes sources ayant donné à l'Homme l'aptitude de sortir de sa condition humaine, par une consommation (modérée) de voies d'altérations de ses états de conscience.