Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

On paye la protection du fils de Valérie Trierweiler et celle de son ex-mari !

sans-titre.png Trierweiler en or.png

De mémoire, jamais « Première dame » n’a été aussi détestée dans l’histoire de la République. On se souvient de cette bonne ménagère qui, à Dijon, avait glissé à François : « Ne vous mariez pas avec elle, on ne l’aime pas ! » Le peuple avait cruellement parlé.

Il faut dire qu’en plus de ses tweets de collégienne boutonneuse, la Valoche a la main leste quand elle s’agrippe à la capuche des journaleux ! Pas vraiment classe, la mégère.

Grand moment d’Histoire, son épopée pitoyable dans les rues de Tulle, filmée par « Le Petit Journal » de Canal, a montré une femme s’accrochant désespérément à son bout de statut. Et c’est un combat de chaque instant : la Valoche était parfois semée sur un trottoir par son Jules, tout obnubilé par des mains à serrer !

 

Les récentes révélations du Point ne vont rien arranger pour la donzelle : le public apprend, en effet, que le fils cadet de Valérie Trierweiler (qu’elle a eu avec son ex) bénéficierait d’une garde rapprochée. Le môme de 15 ans serait escorté quotidiennement par une escouade composée de « deux policiers, d’un brigadier et d’un gardien de la paix qui se relaient chaque jour pour l’emmener au collège dans leur voiture de service », dixit l’hebdo. Denis Trierweiler (l’ex) serait, lui aussi, sous protection du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR).

Tarif pour vous et moi, pauvres contribuables : plus de 71.000 euros par fonctionnaire (chiffres de la Cour des comptes)… sans compter leur salaire. Ça vous reste en travers du gosier ? C’est normal. Surtout au moment où l’État est en pleine réforme de la protection rapprochée des politiques, qui coûterait chaque année des millions d’euros au Trésor public.

Comment justifier que ce gamin, qui n’a aucun lien avec le Président (légalement, ce n’est même pas son beau-fils puisque le marieur des gays n’est pas marié lui-même) soit sous protection de la République ? « Il y a de bonnes raisons pour que le fils de Mme Trierweiler soit suivi par des policiers », explique Patrice Biancone, le directeur de cabinet de la compagne de François Hollande, ajoutant qu’il « ne souhaite pas s’étendre sur le sujet ».

Biancone, ancien journaliste de RFI, sait sans doute de quoi il parle…

De nombreuses « boules puantes » selon la presse de gauche, rumeurs parfois glauques il est vrai, circulent sur la Toile concernant le fils de la « Première people » de France. De facto, l’ado s’est transformé en cible vivante pour les paparazzis et autre barbouzes du Web. Soyons honnêtes, la pression doit être forte pour cette moitié de Louis XVII sauce Closer. D’où cette montagne de fric pour le protéger ? Réagissant à cette info, ma voisine a rué dans les brancards : « Merde, son fils c’est quand même pas Martin Luther King, il ne risque pas une balle ! » Ma voisine a parfois du bon sens.

Joris Karl, le 13 avril 2013
 
BOULEVARD VOLTAIRE
 

Commentaires

  • d,autre part, vu l,insécurité croissante qui régne sur le chemin des écoliers de l,ex-royaume de France , les parents des éléves seraient aussi tranquillisés de voir leur progéniture accompagné par deux policiers ou méme un seul jusqu,à leur lycée ou collége !!!
    oyez oyez bon peuple , noblesse oblige , donc premiére servie !!
    salutations.

  • @ parvus: réflexion très pertinente, en effet!

Les commentaires sont fermés.