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Commémoration du 8 mai 45: les Champs-Elysées vides

Commentaires

  • certains (es) ne savent méme pas qu,il y a eu un deuxiéme confit mondial, et d,autres qui on en rien à foutre . . !!
    il est vrai que les saines valeurs ont pratiquement disparues à notre époque !!
    mais à part les années les plus sombres de notre histoire , c,est la continuation du plan!!
    salutations.

  • Notre rôle dans le conflit fut rien moins que glorieux .
    D'un côté un Maréchal de France à qui des politiques indignes avaient refilé " la patate chaude " et qui n'avait pour programme que d'attendre et de voir venir . Il était d'origine rurale et en avait hérité la sagesse un peu courte . Il inspira une révolution nationale que l'occupant fit avorter .
    De l'autre côté un général d'opéra-bouffe , rempli de vanité mais pourvu parfois d'étranges lueurs de lucidité . Il poursuit les mêmes fins que son rival resté sur le continent et finit part comprendre que jamais les Anglo-Saxons ne lui laisseront un quelconque pouvoir .
    La participation des " forces françaises " au conflit fut symbolique .
    Qu'allons-nous célébrer ?
    Le retour de cette mafia qui sous le nom de démocratie nous asservit et ruine l'Europe .
    Popu-Roi soupçonne désormais que le déclassement de notre pays résulte d'une guerre dont le vainqueur apparent fut d'abord Staline avant qu'il apparaisse que le rusé et cruel maître du " communisme international "s'était fait rouler dans la farine par les magnats de Wall Street et de la City .
    Que pesait notre De Gaulle , ce nain interminable ( Abel Bonnard )?
    Quasiment rien . Il n'était plus qu'un bouffon .

  • On assiste à un changement de symbole de cette " Commémoration nationale", à laquelle, enfant, nous étions tenus d'assister, en rangs, alignés au pied du monument aux morts.
    Aujourd'hui, et sans doute de plus en plus à l'avenir, le 8 mai sera une fête "mémorielle" supplémentaire où on évoquera davantage Auschwitz que les milliers de soldats "morts pour la France". Mon père qui l'avait faite en première ligne cette guerre (52% de morts dans son régiment, lui-même blessé, puis prisonnier) ne voulait plus en entendre parler et méprisait profondément tout cet exhibitionnisme, souvent animé par des planqués. Je pense la même chose. Il était revenu d'Allemagne très admiratif de ce qu'il y avait vu, et jamais il n'a utilisé le mot "Boche". Alors, le 8 mai 45 : à la trappe !

  • Le 11 novembre provoque encore un petit intérêt de la part d'une portion de plus en plus ténue des français. Le 8 mai ,malgré le bourrage de crane quotidien ne représente rien dans l'esprit des gens. La France peut être légitimement fière de son peuple lors du premier conflit mondial. La guerre de 39-45 est bien plus équivoque et la conduite des français ,à part une infime minorité sans exclusivité de choix ,dominée par un attentisme veule avant de basculer en masse à la onzième heure du côté des vainqueurs, bien moins glorieuse. C'est en France ,considérée comme un lieu de villégiature ,que les troupes allemandes venaient se reposer avant de repartir pour le front de l'Est. Cette honte cachée n'en est pas moins vivante dans le subconscient de nos compatriote et les bobards résistancialistes ne prennent plus ;conséquence directe et inattendue pour ceux qui font profession de distiller le mépris de leur pays à notre peuple. Voilà une des raisons pour laquelle cette commémoration n'a jamais eu beaucoup de succès.

  • Dans les medias est évoquée que cette commémoration soit requalifiée en "victoire de l'Europe contre le nazisme", les dizaines de millions de morts goys étant ainsi évacués comme du vulgaire bétail qu'ils sont aux yeux de certains.
    L'Histoire a force d'être triturée dans l'intérêt exclusif des mêmes n'intéresse donc plus personne.

  • @ anonyme: c'est une victoire "en creux": je me comprends.

  • Le 8 mai est sûrement une mauvaise date, mais svp un peu de respect dans les commentaires pour les 150 000 morts français en un mois de combats. Certains ont intériorisé la propagande de l'ennemi intérieur, le procès des vrais responsables politiques de la défaite n'a jamais été fait, mais les français ont fait front au maximum du possible compte tenu de la situation dans laquelle on les avait mis.

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