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On va te faire la peau, sale pute, sale blanche !

 

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Pas de couverture médiatique tapageuse, et même pas de couverture du tout pour une affaire passée ce jeudi devant le tribunal. Une affaire de racisme anti Blancs, ceci expliquant sans doute cela.

Les faits qui remontent au mois de juin 2010 sont hélas d’une grande banalité. Une famille qui avait – en toute connaissance de cause et par choix – acquis un appartement dans un quartier à très forte population immigrée de Savigny-le-Temple, a fini par en être exfiltrée sous protection de la police. C’est leur avocat qui rapporte les faits à notre confrère Atlantico.

Mis au ban, provoqués, injuriés, menacés, c’est peu dire que les membres de cette famille ne parviennent pas à s’implanter dans le quartier. Jusqu’au jour où le père, pris dans une dispute avec un voisin, se retrouve roué de coups, comme l’ami venu lui prêter main forte. L’un et l’autre sont sérieusement blessés : « plaie béante au niveau du crâne nécessitant six points de suture, traumatisme crânien, main fracturée, ecchymoses et hématomes multiples ». Soit respectivement 7 et 21 jours d’ITT.

Leur agresseurs ont pris la fuite avant l’arrivée de la police, mais l’un d’eux va porter plainte contre M. Leterme qui, en se défendant, lui a porté un coup de poing. La plainte est reçue, et l’agressé convoqué devant le tribunal comme victime ET comme agresseur. Passons les détails rapportés par l’avocat : « L’un des prévenus a clairement menacé Madame Leterme en ces termes : « On va se retrouver, on va te faire la misère, on va te faire la peau, sale pute, sale blanche… on va se retrouver… on va vous trancher la gorge à toi et à ta fille. » » Et retenons que, devant les menaces et violences répétées, ces gens « ont décidé de tout quitter ; en une nuit, ils ont fait leurs valises et ont déménagé le lendemain sous protection de la police ».

Les Leterme ont préféré la valise au cercueil. Ce qui, manifestement, n’a pas plu au tribunal. Le parquet a en effet poursuivi le père de famille, homme sans histoires, pour « violences légères ». On l’a mis sur le même plan que ses agresseurs au passé déjà lourd : 11 condamnations à son casier pour l’un, de 3 à 6 pour les autres.

Le tribunal a rendu son verdict : deux peines de prison ferme de 6 et 2 mois (soit rien du tout puisqu’en dessous de deux ans, on ressort pépère), et 8 mois de sursis simple pour le troisième accusé. Quant à M. Leterme, le Procureur a requis contre lui une peine de 1.500 euros d’amende. Heureusement, il n’a pas été suivi dans son réquisitoire.

Hélas presque banale dans les faits, qu’il s’agisse du sort subi par cette famille ou de l’attitude de la justice et du silence des médias, cette histoire en dit beaucoup sur la lâcheté d’une république qui, par lâcheté et par démagogie, refuse de défendre ses citoyens et ses valeurs.

Savigny-le-Temple était autrefois une charmante commune rurale de Seine-et-Marne. Rattachée, comme neuf autres communes, à l’agglomération de Sénart, cité radieuse des années 60 du siècle dernier, elle est vite devenue l’une de ces cités dortoirs, nouveaux parcs puis dépotoirs à immigrés chômeurs. Et pendant que l’on vante le Grand Paris d’à côté, sa future gare TGV, ses écoquartiers, son université et ses entreprises high tech, on laisse des territoires entiers se transformer en ghettos régis par le trafic et la drogue.

En octobre dernier, un enseignant reparti vers sa région commentait sur le Net les cinq années qu’il avait passées à Savigny-Le-Temple. Il écrivait :

Ambiance d’abandon, de capitulation. La démission pour un idéal de beauté ou d’harmonie se lit sur les murs. Les habitants, les commerçants, pour moitié immigrés, ont des mines de déportés volontaires, et le décor n’invite qu’à la dépression.

Rien ne m’a encouragé à apprécier cette ville, ni les jeunes dealers stationnant du soir au matin face aux kebabs, ni les rackets à la sortie de l’école, ni les déchets laissés au sol par une faune sans éducation.

Les quartiers Favelas, Cartel, Arcade, etc. ne doivent leurs noms piteux qu’aux clans qui les infestent. À noter que vous leur devez le respect ! Si par malheur vous téléphoniez à la police, déjà laxiste et consentante à leur égard, votre demande d’intervention (…) ne sera pas prise au sérieux ! (…) Vous ne comprenez pas ? Traduction : c’est leur territoire !

J’ai quitté cette ville, à l’image de ses voisines d’ailleurs (Moissy, Le Mée…), m’interrogeant encore : comment certains peuvent encore accepter d’y vivre. Calmants, aveuglement… Ou résignation. Content d’être en Auvergne à présent et bien vivant, je laisse les zombies là où je les ai trouvés.

L’avis du professeur : vous ne connaissez pas Savigny-le-Temple ? Continuez !

Un jour, il faudra pendre les politiques.

 

BOULEVARD VOLTAIRE - 31/05/13

Commentaires

  • cette situation est bien voulue !!
    d,autre part ce couple devait penser en s,installant dans ce bled que la diversité à la Française est une richesse sans nom etc , etc!!! déception! ces pauvres petits blancs ont découvert que l,atmosphére ne correspondait pas avec le vivre ensemble chanté par le politiquement correct !!
    tout le monde peut se tromper . . .!!!
    sauf ceux qui sont lucides .
    salutations.

  • L'avantage, c'est que les casiers même presque vides, laissent des traces.
    Cela pourra être utile plus tard.
    Quand on rendra l'euro et la monnaie.
    La pendaison c'est bien, mais c'est peut être trop anglais.
    En France : le peloton d'exécution.
    Et jusqu'à ce que mort s'ensuive, que les tireurs soient des parkinsonniens en phase avancée, et placés à bonne distance.

  • Il y a des procureurs fous, et pourtant le "système" fonctionne comme si de rien n'était.
    Pas la peine de se creuser la tête, , la Secte est derrière qui ordonne tout et veut qu'on lui obéisse, ce qui est fait.

  • @ raul
    ...et qu'ils tirent avec des balles rouillées, pour qu'ils attrapent le tétanos ! :-)

  • S' IL faut les pendre , faites appel aux services
    du bourreau MarceL : la pendaison se fera sans la trappe en vue de les laisser gigoter au bout de la cravate en chanvre .
    S' il s' agit de décollation , le bourreau Marcel propose le katana ou la hache (avec cette dernière , la découpe se fait rarement en 1 fois) .

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