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On secoue encore l'épouvantail du nazisme

Aujourd'hui, 16:08                         

      

Beate Zschaepe Беате Чепе Беате Цшепе Национал-социалистическое подполье неонацизм суд мюнхен nsu

Alors que le procès contre le NSU contre la seule survivante du trio de néonazis, Beate Zschäpe, continue au tribunal de Munich, et que nous avons évoqué l'information du journaliste du magazine Compact expliquant que les services secrets turcs ont participé aux meurtres de Turcs et de Grecs et que Beate Zschäpe serait aussi un agent, comprenant que des crimes dits nazis ont plusieurs facettes, on assiste en France au même lynchage politique et médiatique sans preuves ni explications rationnelles contre une grande partie de la population qui ne supporte plus de voir son pays être détruit par des pseudos hommes de gauche.

 La mort du militant d'extrême gauche est devenue un symbole. Un militant politique s'est battu avec un autre militant politique et voilà que les journalistes sautent sur l'affaire pour seulement montrer du doigt la droite extrême. On peut parler de récit médiatique.

 A qui profite le crime ? Parler de néonazis, comme si un militant de la gauche extrême pouvait être plus gentil et moins dangereux. On met tout dans le même sac, à la va-vite. Pourtant, quand un Français lambda est tué par des jeunes, nous ne voyons pas un tel rassemblement aussi rapide de personnes pour dénoncer le crime et la violence. Le rassemblement d'hier organisé par le Front de gauche est une récupération sur un cadavre et ça pue la charogne. Encore une fois, les chefs du NPA et de la Gauche extrême nous sortent la rengaine du danger nazi. Un fait divers devient un fait politique. La France a besoin d'être unie et d'être au-dessus des partis politiques pour s'en sortir.

 Arguments connus. Depuis l'époque Mitterrand, nous connaissons ces discours basiques parlant d'extrême droite pour estampiller d'une étoile jaune ceux qui ne nagent pas dans le sens du courant. « Le Front national est un parti nazi», pouvait-on entendre partout et en particulier dans les cours des écoles, interdisant ainsi ceux qui pensent autrement de voir et de critiquer la communication officielle, même si ces derniers n'étaient pas ou ne sont pas du FN. François Mitterrand, qui fut dans le gouvernement de Vichy, qui a serré la main de Pétain, devait, lui, mieux connaître que nous la signification du mot néonazi, à une époque où le parti nazi de Hitler n'existe plus. Faut-il rappeler que ce sont les socialistes sous François Mitterrand qui ont fondé l'organisation « Touche pas à mon pote » qui a participé à la division du peuple de France aujourd'hui en stigmatisant par ce slogan les populations immigrées auprès de la population française ? Porter un foulard ou une écharpe rouge ne fait pas le communiste ou l'homme de gauche. On assiste à la même stratégie de désinformation sur les actes dits politiques. Tout se passe comme si le paysage médiatique et le Front de gauche avec le NPA, étaient des saints et s'attendaient à un tel acte horrible. A peine le corps du militant de gauche refroidi, le NPA et le Front de gauche portent des tee-shirts noirs avec le nom de la victime en rouge. Comment ont-ils eu le temps de les fabriquer ? Ce n'est pas l'acte grave qui indigne ces mouvements de gauche mais l'excitation de pouvoir faire de la politique dessus alors qu'encore une fois, la France dans la situation actuelle a besoin d'un rassemblement national. La gauche extrémiste, comme un cheval fou, vante les mérites d'une société multiculturelle et se borne à ne pas voir les faits alors que divers hommes politiques européens avouent son échec, quand la plus grande partie des Français n'en peuvent plus.

 Les faits. Un tribunal n'a pas jugé, n'a pas exprimé la responsabilité entre les deux parties concernées. Pourtant, le militant d'extrême gauche est dédouané. Il est forcément la seule victime. La violence de militants d'extrême gauche a pu se voir encore durant la réunion de Paris où des militants du Front de gauche ont violemment attaqué verbalement Nathalie Kosciusko-Morizet, preuve que cette agressivité n'est pas l'apanage de militants dits de droite. Voilà qui prouve qu'être un militant du NPA ou du Front de gauche n'est pas une garantie de respect envers autrui.De plus, c'est bien le parti socialiste soutenu par l'extrême gauche qui a fait passer une loi où 2 millions de Français étaient contre. Où aucun référendum, ce qui est le signe d'une démocratie en pleine forme, n'a eu lieu. Ne pas écouter le peuple est digne d'un État totalitaire. Et si les socialistes, le Front de gauche, le NPA employaient des méthodes trop liberticides ? Obligation d'enseigner le Gender à nos enfants, obligation de vivre dans une société multiculturelle non européenne, obligation de suivre le modèle allemand pour le contrat social et sur le contrat de stabilité. Toutes ces lois n'ont pas été promulguées par des élus de la droite extrême...

  

 Les opinions exprimées dans ce contenu n'engagent que la responsabilité de l'auteur.

 

 
La Voix de la Russie

Commentaires

  • Il est patent que le gouvernement et les médiats voudraient transformer la mort du jeune en une nouvelle affaire carpentras ! Mais cette fois cela risque de se retourner contre eux plus rapidement que la dernière fois, tant la ficelle est grosse !

  • le rassemblement national est impossible , car le Systéme n,en veut point et pour cause . .!!!
    salutations.

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