L' «affaire» du mariage gay d'Arcangues (Pyrénées-Atlantiques) devrait bientôt connaître son dénouement. Un adjoint au maire qui s'opposait depuis fin mai au mariage d'un couple d'hommes, a finalement accepté de célébrer leur union, a annoncé jeudi la mairie dans un communiqué.
«Après un tour de table où chacun a pu s'exprimer, un adjoint a fini par se porter volontaire pour célébrer le mariage Taubira», a indiqué la mairie dans un communiqué transmis jeudi soir à l'issue d'une réunion entre le maire (divers droite), Jean-Michel Colo, et ses adjoints, sans préciser l'identité de l'adjoint volontaire.
Jean-Michel Martin et Guy Martineau-Espel, en couple depuis 1997, ont déposé officiellement leur dossier de mariage le 17 juin à la mairie d'Arcangues. Fin mai, ils avaient averti le maire de cette commune de 3.000 habitants de leur projet d'union. M. Colo, 60 ans, avait informé le 7 juin la préfecture qu'il refuserait, tant qu'il serait à la tête de sa commune, de marier des couples de même sexe.
Face à ce refus de célébrer leur union, le couple avait finalement porté plainte mercredi pour discrimination auprès du procureur de la République à Bayonne contre le maire et ses adjoints qu'ils ont également assignés en référé.
«Après un tour de table où chacun a pu s'exprimer, un adjoint a fini par se porter volontaire pour célébrer le mariage Taubira», a indiqué la mairie dans un communiqué transmis jeudi soir à l'issue d'une réunion entre le maire (divers droite), Jean-Michel Colo, et ses adjoints, sans préciser l'identité de l'adjoint volontaire.
Jean-Michel Martin et Guy Martineau-Espel, en couple depuis 1997, ont déposé officiellement leur dossier de mariage le 17 juin à la mairie d'Arcangues. Fin mai, ils avaient averti le maire de cette commune de 3.000 habitants de leur projet d'union. M. Colo, 60 ans, avait informé le 7 juin la préfecture qu'il refuserait, tant qu'il serait à la tête de sa commune, de marier des couples de même sexe.
Face à ce refus de célébrer leur union, le couple avait finalement porté plainte mercredi pour discrimination auprès du procureur de la République à Bayonne contre le maire et ses adjoints qu'ils ont également assignés en référé.
LeParisien.fr - 27/06/13
Il se pourrait que la vérité soit triste (Renan)
Commentaires
Nous perdons le sens des mots ( il y a des spécialistes pour çà ), une paire n'est pas, ne sera jamais un couple.
Il serait plus simple que les demandeurs (euses), fassent leur truc seuls ( eules) sous une tente, tout serait symbolique , et personne ne serait emmerdé par ce genre de lamentable connerie .
Ne pourrait-on pas porter plainte contre ce couple pour hétérophobie, car en singeant ainsi le vrai mariage ils se moquent des vrais couples ?
Cher abad, le délit d'hétérophobie ne doit pas encore exister! mais votre suggestion est excellente!
Vont-ils faire des enfants de leur "amour" ?
J'en doute : spermatozoïde + caca, ça n'a jamais rien donné de beau !
Désolé pour l'image plutôt désagréable, mais la vérité ne fait pas de détours !
@ téléphobe: par les "vases interdits", comme écrivait Sade, on n'a jamais fait d'enfant...