par Miguel Vidal
SAINT-JACQUES-DE-COMPOSTELLE, Espagne (Reuters) - Au moins 35 personnes ont été tuées et cinquante autres blessées mercredi soir dans le déraillement d'un train près de Saint-Jacques-de-Compostelle, dans le nord-ouest de l'Espagne, a annoncé le président de la région de Galice, Alberto Núñez Feijoo.
Il a ajouté qu'il était encore trop tôt pour se prononcer sur l'origine de ce déraillement.
Selon la radio Cadena Ser, un témoin a fait état d'une explosion juste avant le déraillement.
Un porte-parole du gouvernement régional a toutefois parlé d'un accident, semblant écarter une origine criminelle.
Le train qui reliait Madrid à la ville d'El Ferrol transportait 218 passagers, plus le personnel de bord, et le déraillement s'est produit à 20h41, a précisé la Renfe, la compagnie des chemins de fer espagnols.
Ce drame survient à la veille de la fête catholique de saint Jacques, évangélisateur de l'Espagne, et près de son sanctuaire galicien où affluent chaque année de nombreux pèlerins. Toutes les festivités ont été annulées.
Sur le site du journal Voz de Galicia, des photos montrent plusieurs voitures couchées sur le côté, de la fumée s'élevant des wagons accidentés.
"Dans une courbe, le train a commencé à bouger et les wagons se sont empilés les uns sur les autres", a dit un passager rescapé, Ricardo Montesco. "J'étais dans la deuxième voiture et il y avait du feu... J'ai vu plusieurs cadavres."
Selon un journaliste de Cadena Ser, toutes les voitures du convoi ont déraillé et de nombreux corps recouverts de couvertures ont été déposés près de la voie.
Saint-Jacques-de-Compostelle est la ville natale du président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy.
Sonya Dowsett et Inmaculada Sanz; Guy Kerivel pour le service français
Yahoo!Actu - 24/07/13
Commentaires
Le gouvernement espagnol a illico affirmé que ce n'était pas un attentat. Partout en Europe la priorité est de ne pas stigmatiser les muzzs, d'excellentes personnes par définition, accusées au pire d'être salafistes, c'est à dire victimes les pôv d''une idéologie.
Les Européens qui défendent leur pays et leur peuple sont accusés eux de véhiculer la haine xénophobe et antisémite et leurs associations sont dissoutes.
L'empressement des "autorités" et des merdiats à affirmer qu'il ne s'agit (surtout pas) d'une "malveillance" peut paraître suspect, surtout après l'affaire de l'éclisse de Brétigny.
c,est peut-être la loi des séries , dans l,histoire du rail , les accidents ne manquent guére et les victimes non plus!!
pour lancer une vague d,attentats les lieux sont pléthore !!
salutations.
L'accident est dû à l'irresponsabilité du conducteur, la cause est entendue.
Il n'en demeure pas moins que la rapidité fulgurante du gouvernement espagnol pour nier que c'était un attentat, le dernier wagon étant à peine retombé à terre, est révélatrice d'un état d'esprit partagé par les cloportes du gouvernement français : surtout s'empresser de dédouaner les muzz !!!
Valls a fait école !
@ téléphobe: on peut se poser la question. Pourquoi roulait-il plus vite que d'habitude au point de faire dérailler son train? Il n'avait pas bu d'alcool. Des témoins ont entendu une explosion juste avant la catastrophe...
Maintenant le malheureux est en prison.