Deux CRS ont été blessés mardi à Nice (Alpes-Maritimes) par trois mineurs originaires de Seine-Saint-Denis, lors d'un contrôle d'identité qui a mal tourné sur la promenade des Anglais. L'un des fonctionnaires, issus de la Compagnie républicaine de sécurité n°4, basée à Lagny (Seine-et-Marne), souffre d'une fracture du poignet gauche et d'une entorse cervicale, et s'est vu délivrer une interruption temporaire de travail de 30 jours, selon la préfecture du département.
Le second, souffrant de contusions, a eu une ITT de deux jours.
Alors qu'ils étaient en mission de sécurisation, les deux fonctionnaires, ont été roués de coups par trois individus «particulièrement agressifs et violents». Ceux-ci enfreignaient un arrêté municipal interdisant de se promener torse nu en ville, a expliqué Philippe Lebrun, directeur adjoint du cabinet du préfet. Les trois mineurs ont été interpellés dès mardi soir et placés en garde à vue. L'enquête a été confiée au groupe d'appui judiciaire de la police nationale. Les trois agresseurs présumés doivent être déférés pour être présentés à un juge des enfants jeudi matin.
Mercredi, le préfet Adolphe Colrat a reçu le commandant de la CRS 4 pour faire un point sur leur état de santé et leur transmettre par son intermédiaire «un message personnel de soutien» de Manuel Valls. «Le ministre de l'Intérieur tient ainsi, par l'intermédiaire du préfet à rendre hommage aux forces de l'ordre, et particulièrement aux unités mobiles, qui sont pleinement mobilisées en cette période estivale pour assurer la sécurité de nos concitoyens», ajoute le communiqué.
Le syndicat Unité SGP Police des Alpes-Maritimes a dénoncé dans un communiqué «une nouvelle fois la violence déployée contre (leurs) collègues», réclamant «la plus grande sévérité de la justice». Le syndicat Alliance estime que «les Alpes-Maritimes ne sont pas un défouloir pour délinquants en vacances».
LeParisien.fr
Alors qu'ils étaient en mission de sécurisation, les deux fonctionnaires, ont été roués de coups par trois individus «particulièrement agressifs et violents». Ceux-ci enfreignaient un arrêté municipal interdisant de se promener torse nu en ville, a expliqué Philippe Lebrun, directeur adjoint du cabinet du préfet. Les trois mineurs ont été interpellés dès mardi soir et placés en garde à vue. L'enquête a été confiée au groupe d'appui judiciaire de la police nationale. Les trois agresseurs présumés doivent être déférés pour être présentés à un juge des enfants jeudi matin.
Mercredi, le préfet Adolphe Colrat a reçu le commandant de la CRS 4 pour faire un point sur leur état de santé et leur transmettre par son intermédiaire «un message personnel de soutien» de Manuel Valls. «Le ministre de l'Intérieur tient ainsi, par l'intermédiaire du préfet à rendre hommage aux forces de l'ordre, et particulièrement aux unités mobiles, qui sont pleinement mobilisées en cette période estivale pour assurer la sécurité de nos concitoyens», ajoute le communiqué.
Le syndicat Unité SGP Police des Alpes-Maritimes a dénoncé dans un communiqué «une nouvelle fois la violence déployée contre (leurs) collègues», réclamant «la plus grande sévérité de la justice». Le syndicat Alliance estime que «les Alpes-Maritimes ne sont pas un défouloir pour délinquants en vacances».
LeParisien.fr
Commentaires
l,éternelle ritournelle , agression des forces de l,ordre qui veulent faire respecter la loi , soutien du ministre et les syndicats qui déplorent !!
les lampions de la féte au village ne sont pas prés de s,éteindre !!!
salutations.
"Le syndicat Alliance estime que «les Alpes-Maritimes ne sont pas un défouloir pour délinquants en vacances»." :
http://www.alliancepn.fr/le-syndicat/presentation/
"Créé le 8 juin 1995 par le regroupement du Syndicat Indépendant de la Police nationale (SIPN) et du Syndicat National des Enquêteurs et des Policiers d'Investigation (SNEpi), Alliance Police Nationale regroupe aujourd'hui plus de 30 000 adhérents. Particulièrement attachée aux institutions de la République, au code de déontologie de la Police Nationale et aux principes de la déclaration universelle des droits de l'homme et du citoyen..."
SYNDICAT CA CA ;o)
Ce genre de comédie se nomme une farce, trois saloperies capables d'esquinter des CRS, ne seront présentés qu' à un juge pour enfants.
ON SE FOUT DE NOTRE GUEULE.
La Lanterne, le lynchage serait plus de mise.
Le message de soutien du Gazier en Chef va leur faire une belle jambe, aux CRS ! Par contre les trois agresseurs, qui seront immédiatement relâchés, savent que ce sont eux qui font la loi dans les rues !