Fort du soutien inconditionnel et financier (avec les fruits de nos impôts) du gouvernement, le Planning Familial vient de faire lourdement condamner le docteur DOR.
Celui-ci était poursuivi par deux plaignants :
1) L’hôpital St Vincent de Paul à Paris pour un banal rosaire pour la vie dans la rue en 2011, comme SOS Tout Petits en organise régulièrement.
2) Le Planning Familial parisien pour s’être introduit à deux reprises en 2012 dans les locaux public de cet organisme, y avoir déposé quelques tracts, et remis une médaille miraculeuse et des bottons de bébé en laine à une femme croisée dans l’escalier, alors qu’il quittait les lieux.
S’il a été relaxé pour la première plainte, le docteur Dor a été condamné pour la deuxième à 10.000€ d’amende et 2.000€ de dommages et intérêts à la personne croisée en repartant. Circonstance aggravante dit la Cour, celle-ci étant catholique, elle fut d’autant plus traumatisée du geste compassionnel du docteur Dor.
Sachant que même tricoté à la main, un botton de bébé en laine n’a pas spécialement de connotation confessionnelle, cela fait cher la marche d’escalier !
Cette peine pour entrave à l’avortement dépasse les réquisitions du parquet, qui avait demandé une peine de 8.000 euros d’amende. Le lobby pro-mort se défend bien. Le parquet avait souligné « la pression morale et psychologique » et « les actes d’intimidation » (sic) exercés par le vieillard de 84 ans auprès de cette femme.
Contre-info.com
Commentaires
Le lobby pro mort, puisqu'il aime tant la mort, et bien , qu'on la lui donne ; on n'est jamais si bien servi que par soi-même.
Ces tueurs fous ont pignon sur rue, partout même chez des gens supposés punir les criminels.
Entraver l'avortement, oui, les salauds qui tuent des innocents méritent de disparaitre. Nous n'entraverons pas le bourreau.
Comparons la bonté d'un homme et la puanteur morale des chiens enragés, y a pas photo, comme on dit parfois.
@ turigol; j'ai connu jadis le cadre du travail une jeune secrétaire qui s'était fait avorter, trop faible pour résister aux pressions familiales. Elle m'a montré dans son sac une petite paire de chaussons qu'elle portait toujours avec elle, et elle était triste à la date "anniversaire". Elle avait tricoté ces petits chaussons avant d'accepter de commettre l'irréparable.