Plusieurs marches blanches ont eu lieu dimanche en France pour saluer la mémoire de Fiona. La plus importante a réuni plus de 2000 personnes à Clermont-Ferrand, où vivait la fillette âgée de 5 ans.
Entre 2000 et 2500 personnes se sont retrouvées dimanche dans les rues de Clermont-Ferrand. La marche blanche auvergnate, organisée en hommage à la petite Fiona, a fait des émules aux quatre coins du pays, des rassemblements similaires ayant été signalés à Paris, Rouen, Marseille ou Brive-la-Gaillarde. Dans le chef-lieu du Puy-de-Dôme comme ailleurs, l'objectif était le même : saluer la mémoire de la fillette de cinq ans, dont le corps n'a toujours pas été retrouvé, près de deux semaines après les aveux de sa mère, Cécile Bourgeon.
"J'étais la douceur, la candeur et l'innocence, je ne méritais pas leur violence"
A Clermont-Ferrand, c'est son père biologique, Nicolas Chafoulais, qui a mené le cortège. Le visage fermé, l'homme a tenu, aidé par les mains de nombreux anonymes, une banderole portant l'inscription "Pour Fiona", encadrée de deux coeurs et de photos. "Aujourd'hui sera un grand jour, ils seront tous là pour moi. J'étais la douceur, la candeur et l'innocence, je ne méritais pas leur violence", a lu une femme, se glissant dans la peau de Fiona, avant le départ du cortège.
Partis vers 14 heures de la place de Jaude, les marcheurs, pour la plupart tout de blanc vêtus et au nombre de 2200 selon la police, ont atteint une heure et quinze minutes plus tard l'appartement de la rue Goncourt, où vivait Fiona, avec sa mère et son compagnon, Berkane Maklouf. L'occasion pour le père de Fiona de remercier les personnes présentes et de se déclarer touché par la mobilisation. L'émotion, palpable, ne fait pas oublier une question toujours sans réponse : où est le corps de l'enfant ? De nouvelles auditions de la mère de la fillette et de son ami devraient avoir lieu en début de semaine pour éclairer les enquêteurs.
Metronews
Commentaires
C’est curieux vers midi, à la télévision sur BFM, ils ont affirmé que le (vrai) père n’avait pas participé à cette marche et était resté chez lui !
Ces marches blanches, téléguidées, ont pour objet de faire diversion, pour éviter que cette insécurité liée à l’immigration ne jette les gens dans les bras du FN qui, seul, dénonce les vraies causes de cette insécurité. D’ailleurs on remarque que dans le slogan lancé au début de la marche il est dit : «leur violence» liant ainsi la violence de la mère à celle du concubin. Or rien ne dit que la mère n’a pas été, elle aussi, victime de la violence de ce concubin. Une telle phrase ressemble à un lynchage : il s’agit bien de détourner la colère des gens.
@ abad: vous voyez sur la photo le père de Fiona en tête, c'est cet homme très grand, avec une veste rayée. Bien sûr qu'il était là! On essaie de le faire passer pour un demeuré, alors qu'il est dans un immense chagrin. C'est ignoble.
La mère de Fiona recevait aussi des coups, mais se droguait et était sous l'emprise de ce salaud. Ce qui ne l'excuse pas pour son enfant.
Les gens n'osent pas parler ouvertement, mais ils savent très bien qui a tué Fiona à coups de poing. D'ailleurs les vidéos sont très courts et on ne laisse pas les gens s'exprimer. Je les ai visionnées.
Les policiers pensent maintenant qu'il ne l'a pas enterrée dans cette forêt car il n'avait pas de pelle. Ils continuent à mentir tous les deux.
On essaie évidemment de ne pas parler de "ce qui est sensible"... Pas de racisme...
Gaelle , sûrement!! surtout ne pas parler de choses sensibles , déjà que le FN est en progression. . quelle horreur pour la planéte boboland et le politiquement correct. .!!
salutations.