Selon un compte-rendu interne de la police écrit avant la polémique, une enseignante accompagnant la sortie scolaire de la jeune Rom kosovare et un membre de RESF ont «sollicité une prise en charge discrète» de l'adolescente.
Selon un telex interne de la police aux frontières (PAF), dont Le Figaro a eu connaissance et qui fut rédigé bien avant que la polémique sur l'affaire Léonarda n'éclate - mais avant l'expulsion de la jeune Kosovare - les fonctionnaires de la PAF du Doubs ont récupéré la jeune fille en accord avec l'enseignante encadrant la sortie scolaire du 9 octobre, mais aussi en parfait accord avec le représentant du Réseau éducation sans frontières (RESF) présent sur place, en bas du car, devant le collège Lucie Aubrac de Doubs.
«Le professeur encadrant la sortie scolaire et un membre de RESF sollicitent une prise en charge discrète de la jeune fille par les policiers», spécifie le compte-rendu de l'affaire, accessible dans les fichiers de travail de la PAF. Un élément embarrassant pour l'association de défense des mineurs étrangers scolarisés et qui attesterait, selon les syndicats de policiers, de la «bonne foi» de leur collègues impliqués dans cette affaire.
LE FIGARO - 17/10/13
Derrière l'"émotionnisme", les immigrationistes !
Commentaires
Son accoutrement vaut un discours.
Assez de pleurnicheries, que tout rentre dans l'ordre en France uniquement par la prise en mains des Français.
Les autres, tous les autres, même les plus égaux que d'autres, dehors, on ne vous a que trop supporté.
les immigrationistes sont les collabos des mondialistes . . !!
et les lycéens enfumés de pauvres idiots . . .!!
salutations.