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17 novembre 1793: Carrier inaugure les noyades de Nantes

 

Posted on 16 novembre 2013 
 

carrier

On nous prie d’annoncer la commémoration, par le Souvenir chouan de Bretagne, des premières exterminations de masse par Jean-Baptiste Carrier, le 17 novembre prochain. Une belle occasion de prier les martyrs de la Révolution pour la restauration de la France chrétienne. Voici le communiqué du Souvenir chouan de Bretagne:

 

Un crime organisé, une Shoah avant l’heure, ne touchant que des catholiques ou des personnes refusant les « bienfaits » de la révolution, une organisation volontaire de la destruction de personnes telle qu’elle ne s’était jamais vue dans l’Histoire de la France !
Il est bien de dénoncer les crimes commis contre les Chrétiens de Syrie, d’Egypte, du Viêt-Nam, de Chine, etc… Mais quel système politique a donné l’exemple ?
Baptisé le lendemain de sa naissance dans sa ville de Yolet (proche d’Aurillac) Jean-Baptiste Carrier va inaugurer dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 novembre 1793 un mode d’extermination moderne: Les Noyades. Il n’en est pas l’inventeur car des expériences ont déjà eu lieu aux Ponts de Cé dans le Maine et Loire. Les premières victimes, dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 novembre 1793, sont des prêtres dont l’âge va de 29 à 81 ans.
D’autres Noyades vont suivre et  se poursuivre après le départ de Carrier en février 1794. Elles toucheront des personnes différentes, hommes, femmes, enfants et s’accélèreront après la débâcle de Savenay (23 décembre 1793).
Jamais un procédé aussi ignoble n’avait été inventé pour se « débarrasser » en masse d’opposants ET MAJORITAIREMENT NON COMBATTANTS. On parle des Noyades comme d’un crime réel mais de façon intemporelle. A-t-on imaginé l’angoisse et la souffrance de ceux qui en ont été les victimes ? L’obscurité, l’eau qui monte dans les embarcations, la révolte, l’angoisse, l’eau qui envahit les bouches, les corps, les poumons ? La mort enfin avec toute ses souffrances ? Et l’ultime question : Mais qu’est-ce que j’ai fait pour être ainsi traité ?
Le Souvenir Chouan de Bretagne rendra hommage à ces innocentes victimes Dimanche 17 novembre 2013.
 
RIPOSTE CATHOLIQUE

Commentaires

  • Autre forme de victime, lu il y a deux ou trois ans dans une revue :
    dans un village, une descendante de Carrier est obligée de partir sous la pression de l'hostilité générale. Cette pauvre malheureuse cumule donc la honte ancestrale et la haine d'aujourd'hui.
    "Les fautes du père ne seront pas imputées au fils, les fautes du fils ne seront pas imputées au père " (Bible, Ezechiel 18/ 2O)

  • Carrier est l’arrière grand-père des grands criminels de l’histoire dont, malheureusement les descendants directs sont aujourd’hui au pouvoir en France, avec le fromage de l’élysée, le faux héraut de matignon, le Gazier de beauvau, etc.. ;

  • Nous avons les frères idéologiques de ce tueur en série au gouvernement et au Parlement, simplement ils ne peuvent pas pour l'instant passer à l'acte, ils se contentent de matraquer fiscalement, de criminaliser les opinions.

  • Au lycée (donc laïc) où j'étais à Marseille, le professeur ne faisait pas l'impasse sur ce monstre, au contraire elle nous expliquait bien comment il procédait lui et ses hommes pour noyer ces pauvres prêtres (premières victimes) et femmes et enfants. Les temps ont bien changé dans l'Enseignement!

    Quant au lycée Longchamp, il est devenu un CEG, aux murs couverts de tags, il est dégradé dans tous les sens du terme...

  • la méthode était aussi de lier un homme et une femme ensemble face à face pour ensuite les jeter à l,eau , cette façon de procéder était appellé le mariage républicain . . .!!!
    mais comme il s,agissait de souchiens (es) de l,époque, un détail pour nos républicains modernes . .!!
    salutations.

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