Le chanteur, connu pour son amitié avec Nicolas Sarkozy, fait parti du comité de soutien de la candidate PS à la mairie de Paris qui sera présenté lundi.
Une prise de guerre à forte portée symbolique. La candidate socialiste à la mairie de Paris, Anne Hidalgo, qui présente lundi son comité de soutien, peut se prévaloir de compter dans ses rangs Enrico Macias, ami notoire de Nicolas Sarkozy, révèle dimanche Le Parisien . Le chanteur, qui s'est pourtant toujours présenté comme un homme de gauche, avait notamment fêté sa victoire à ses côtés le 6 mai 2007, place de la Concorde.
Resté proche de Nicolas Sarkozy prendant son quinquennat - il fut question fin 2007 de lui confier une mission sur l'Union de la Méditerranée -, Enrico Macias s'était également engagé en sa faveur pendant sa dernière campagne, il y a un an et demi. Il était notamment présent lors de son premier meeting en plein air le 16 avril, place de la Concorde. Depuis la défaite de Nicolas Sarkozy, les deux hommes ont continué à se fréquenter. Il y a quasiment un an, l'ex-chef de l'État s'était ainsi rendu au concert de son ami à l'Olympia de Paris.
Enrico Macias est-il depuis revenu sur sa position? Invité par Le Figaro TV en juin dernier, l'artiste avait clarifié sa position, entre son cœur à gauche «pour la justice sociale» et son amitié pour «l'homme Sarkozy». Il avait indiqué qu'il restait un homme de gauche et que son engagement n'était pas pour l'UMP ou une «idéologie», mais au profit d'un homme, son ami Nicolas Sarkozy.
Autres ralliements à droite enregistrés par Anne Hidalgo: le couple de chasseurs de criminels nazis, Serge et Beate Klarsfeld, dont le fils Arno Klarsfeld avait été candidat UMP aux législatives de 2007 à Paris, ou l'historien et éditorialiste Alexandre Adler.
Le comité de soutien de la candidate, présidé par le mathématicien Cédric Villani, compte de nombreuses personnalités issues du monde de la culture, mais aussi de la science, du sport ou encore du milieu syndical. Parmi les 500 premiers noms publiés par Le Parisien notamment: l'ex-patron de la CGT Bernard Thibault, l'ancien leader de FO Marc Blondel, l'ex-premier ministre Lionel Jospin, le généticien Albert Kahn, le rugbyman Pascal Papé, l'imitateur Gérald Dahan, les comédiens Jean-Pierre Marielle, Agnès Jaoui, Jean-Pierre Bacri, le producteur Dominique Besnehard ou encore la fille de François Mitterrand, Mazarine Pingeot.
«C'est un mélange de personnes qui me soutiennent et que je ne connaissais pas et d'autres, que je connais depuis parfois longtemps, avec lesquelles j'ai construit des histoires d'amitié fondées sur des valeurs et des convictions», explique Anne Hidalgo au quotidien.
Le Figaro 12 01 14
Commentaires
Elles sont jolies les filles de son pays ?
@ téléphobe: on a l'impression qu'il se met du khôl au bord des yeux... Il a l'œil lourd...
Arafat, le pauvre, se fardait au polonium.
pour tous ces gens là ,droite ou gauche ne veut rien dire , ils et elles vivent dans leur monde de bobos . .!!le bon peuple n,est que de la fange pour eux et elles . .!!
donc que Macias et consorts se placent au coté de la mère Hidalgo , on s,en tape . . .!!!
salutations.
parvus, Hidalgo, c'est une communauté à elle toute seule!
parvus, il a une sale gueule, quand même!
Y'en a marre Anne ;o)